loetba a écrit :
La bienséance à laquelle je vous convie, suggère la mesure. Pas la mesure en centimètres ou en « senti mettre » mais la Mesure qui soutient un rapport avec l’esthétique.
Cette esthétique offre de générer de la beauté. Qu’est-ce que la beauté, sinon l’ordre et l’harmonie. Le sexe masculin satisfait-il à ces deux paramètres ? C’est une condition nécessaire mais pas suffisante !
La beauté du sexe masculin le conduit à se comporter comme il se doit. Ceci concerne alors ses attitudes, ses postures, sa vision, son port de tête, son port de gland. Un sexe qui glandouille n’est pas majestueux. Sa tenue est essentielle, sa façon de se découvrir c’est sa façon de parler de s’exprimer. Sa beauté tient aussi à sa manière de se déplacer, de se prélasser ; mais aussi son intérieur…c’est-à-dire le cerveau. Celui qui le commande…tout ce qu’il nous dit, tout ce qu’il nous montre..
Ce qui donne de la tenue à l’objet c’est l’ensemble de cette beauté faite harmonie, sinon, il s’avachit.
On évitera donc la bassesse, la grossièreté, la trivialité, la vulgarité, la discourtoisie, l’impolitesse, la muflerie, l’incivilité, la goujaterie. On écartera tout vocable toute posture, tout comportement qui pourrait blesser ou offenser l’autre.
La mesure oblige la réserve.
C’est à ces conditions que le sexe masculin est beau.
Lø
Rabelais est une des preuves du contraire...