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Cinéma

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Posté le : 31/10/2024 13H40
thenaturist a écrit :
Il n’y a plus que les boomers pour employer le terme djeunmort de rire
Et j en suis une mort de rired 'apres google
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Posté le : 31/10/2024 13H46

Totone, 18 ans, passe le plus clair de son temps à boire des bières et écumer les bals du Jura avec sa bande de potes. Mais la réalité le rattrape : il doit s'occuper de sa petite sœur de 7 ans et trouver un moyen de gagner sa vie.
Sortie le 11 decembre
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Survilliers Survilliers
Posté le : 31/10/2024 22H22
Bonsoir.
Encore un très beau film ce soir avec " Frères" d'Olivier Casas ( 2024) témoignage d'une histoire vraie de deux enfants qui vivront durant 7 ans seuls dans une forêt . Le lien indéfectible qui les unira jusqu'à leur vie d'homme se déchirera par le choix d'un des deux frères de quitter volontairement la vie.
Y Attal et M Kassovitz sont les principaux personnages du film.
Bonne soirée.
Bernard
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Posté le : 03/11/2024 10H53
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Posté le : 03/11/2024 12H36
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Survilliers Survilliers
Posté le : 03/11/2024 13H48
clea a écrit :
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Bonjour.
Je viens de voir " All we imagine as light " et ce film mérite vraiment le Grand Prix du Festival de Cannes 2024.
Bon après midi.
Bernard
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Posté le : 04/11/2024 14H05
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Raoul débarque à Marseille où sa fille est morte. Tout ce qu'elle lui avait raconté de sa vie ? Un tissu de mythos. En tentant de recoller les morceaux, il découvre qu'elle avait enregistré un disque avec une bande de filles. Il se met alors en tête de remonter ce groupe, coûte que coûte. Et en slip s'il le faut.
 chr
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Posté le : 04/11/2024 16H22
Fotogenico est une très belle proposition de cinéma et porte une très belle énergie.
Je ne vais rien raconter de l'histoire assez simple mais qui permet un développement original. Tout est dans le traitement et sur ce point les réalisateurs ont été très inventifs en rassemblant et explorant tout ce qui les entoure depuis leurs débuts: un très beau travail sur l'intimité de l'histoire et du traitement de la musique, Marseille comme on la voit peu et vrai personnage du film, direction d'acteurs, etc..
Marcia Romano, grande scénariste a travaillé avec de grand.es cinéastes.
Benoît Sabatier, journaliste, critique musical, de rock, rédacteur en chef du magazine Technikart,...
Et les deux réunis... une effervescence!

Fotogenico réunit Christophe Paou (Acteur de L'inconnu du lac), Roxanne Mezquida et Angèle Metzger qui de film en film se révèle.

Le film a été présenté à Cannes en mai dernier, une vraie belle surprise.

Fotogenico sort le 11 décembre et je vous invite à le découvrir...

Je précise que je n'ai aucun autre intérêt que de partager la découverte de ce film, je n'en suis pas le producteur mort de rire
Message edité le 04/11/2024 16H24
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Posté le : 05/11/2024 08H38

L’affaire Nevenka a marqué un point de rupture, un avant et un après au sein de la société espagnole. Il fut le premier #MeToo à une époque, la fin des années 90, où il était quasiment tabou d’évoquer le sujet. Ce fut également la première fois qu’un homme politique fut accusé de harcèlement.


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Posté le : 05/11/2024 09H03


Après une ovation au Festival de Cannes, le lumineux MY SUNSHINE de Hiroshi Okuyama, et son tendre trio sur glace, s’apprêtent à faire fondre les spectateurs français !naturiste
Message edité le 05/11/2024 09H03
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Posté le : 05/11/2024 21H51
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Prix de la mise en scène au @festivaldecannes , le nouveau chef-d’œuvre de Miguel Gomes arrive le 27 novembre exclusivement au cinéma.
 chr
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Posté le : 06/11/2024 00H13
Miguel Gomes signe un très beau film.
La photographie en noir est blanc est sublime.
Un voyage somptueux dans les méandres de l’histoire, des mémoires à travers une fuite (non?) amoureuse. Tout n’est que reflet des âmes humaines.
Un prix de la mise en scène bien mérité.
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Posté le : 06/11/2024 18H22
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La Zone d'intérêt (The Zone of Interest) de Jonathan Glazer (2023)

Rudolf Höss dirige en bon gestionnaire SS le camp d’extermination d’Auschwitz. Sa famille coule une existence bourgeoise dans une villa coquette jouxtant le mur d’enceinte. Hedwig, son épouse fière de sa réussite, gendarme sans une once de culpabilité son petit paradis domestique aux portes de l’enfer...

Comment évoquer la Shoah au cinéma ? Une question délicate qui divise les réalisateurs et à laquelle Jonathan Glazer apporte une réponse vertigineuse et brillante. Du plus grand crime de l’Histoire, il ne nous montre presque rien mais par un travail remarquable sur le son (quelle claque !) et une mise en scène distillant le malaise, en restitue l’indicible horreur en convoquant notre mémoire collective. Absolument glaçant, le film a reçu le Grand Prix en 2023 au Festival de Cannes.
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Posté le : 06/11/2024 18H53
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Wasquehal Wasquehal
Posté le : 06/11/2024 19H46
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Basé sur une histoire vraie (Voir synopsis sur Allo ciné)
Message edité le 06/11/2024 19H47
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Posté le : 06/11/2024 20H31
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Découvrez l’affiche de IL ÉTAIT UNE FOIS MICHEL LEGRAND de David Hertzog Dessites, au cinéma le 4 décembre.
Message edité le 06/11/2024 20H32
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Posté le : 08/11/2024 16H14
PRIX DU SCÉNARIO • FESTIVAL DE CANNES 2024




https://www.american-cosmograph.fr/the-substance.htmlnaturiste
Message edité le 08/11/2024 16H19
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Survilliers Survilliers
Posté le : 10/11/2024 13H58
Bonjour .
" L'histoire de SOULEYMANE " est magnifiquement supportée par un jeune acteur dont c'est le premier rôle, omniprésent à l'image du début à la dernière minute du film.
Durant deux jours Souleymane livreur de repas répète au milieu de la jungle qu'est le trafic des rues de Paris le discours qui devrait lui ouvrir l'accord de sa demande d'asile. Il y a de la sympathie entre tous ces migrants, mais aussi des racketteurs parmi eux. Tous sont à la merci de passer une nuit dehors à cause d'un bus raté à une minute près.
La fin du film me laisse dubitatif car sans vouloir polémiquer malgré l'empathie pour le sort de ces migrants dont Souleymane est un porte parole attachant, doit on acceuillir parmi toutes les demandes d'asile une jeune fille qui ne veut pas épouser l'homme que ses parents ont choisi pour elle selon la coutume de son pays même si elle est prête à affronter tous les dangers d'un voyage incertain ?.
Quoi qu'il en soit ce film bouscule, et je le conseille rien que pour le jeu de ce garçon qui reste solaire malgré les embûches de sa vie.
Bon après midi pour chacune et chacun d'entre vous.
Bernard
.
Message edité le 10/11/2024 14H32
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Survilliers Survilliers
Posté le : 10/11/2024 22H36
Bonsoir.
BACK to BLAKE est l'histoire d'une étoile filante qui au fond d'elle même savait qu'elle en serait une.
Ce film m'a appris qu'Amy Wynehouse n'avait aimé qu'un seul homme, Blake, et que le jour où cet homme a décidé de ne plus l'aimer, sa chute était presque irrémédiable .
Ce soir ma façon de voir cette artiste est différente car de son vivant on a souvent et même toujours souligné ses excès parce qu'elle ne vivait qu'en les provoquant, mais jamais évoqué cette blessure qui est en réalité la cause de cette mort prématurée, et que je n'avais pas compris que ses chansons étaient toutes dédiées à cet amour perdu .
Merci à ce film de nous avoir apporté ce témoignage.
Bernard
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Clermont-Ferrand Clermont-Ferrand
Posté le : 11/11/2024 05H44
clea a écrit :
PRIX DU SCÉNARIO • FESTIVAL DE CANNES 2024




https://www.american-cosmograph.fr/the-substance.htmlnaturiste
Un conte horrifique et une satire de notre société vampirique divinisant image et jeunesse.
Que feriez vous si vous pouviez littéralement engendrer un double de vous même plus jeune et plus beau ? Le retour à la jeunesse performante a forcément un prix,et la solitude de nos sociétés modernes n'épargne personne. Un tribut lourd a payer pour ces corps féminins qui redoutent la vieillesse et jalousent ce qu'ils furent. Un mal être souligné par une direction artistique aussi bien colorée, acidulée que claustrophobe: le corps de la femme est piégé aussi bien dans ces couloirs sans issue que dans ces vêtements chamarrés.Eternels objets du désir voyeur du spectateur et de l'homme en général ( on ne compte plus les gros plans sur les fesses fort désirables de Margaret Qualley qui grimpe tout en haut de l'échelle sociale depuis la mini série the maid, révélant une plastique proprement affolanteamoureux).
Très gore le film pointe la futilité de nos écrans et regards libidineux. Nous sommes tous prisonniers de nos désirs. Si la vieillesse est un naufrage la jeunesse est folie, notre corps n'étant qu'une matrice informe se mutilant dans le fol espoir de briller l'espace d'un instant pourtant condamné à être dissous dans l'oubli et le temps assassin.
Un film qui dérange et déconstruit l'avenir de la femme condamnée à se perdre dans sa quête du regard et de l'amour de l'autre.
Nihiliste et cynique le film n'évite pas le syndrome me too en dépeignant les hommes comme des porcs grossiers obsédés et irascibles. Coralie Fargeat tombé dans le piège du féminisme énervé énervant.
Demi Moore contemple sa gloire passée et se met à nu dans un rôle ou elle excelle tandis que Margaret Qualley quitte sa peau d'adulescente fraîche et pétillante pour incarner l'icône sexuelle et sensuelle offerte aux désirs les plus incandescents.
Reste un final sanguinolent à la Éléphant Man qui dessert quelque peu le propos d'un film pourtant réfléchi et perspicace, ultime commentaire acerbe sur nos sociétés qui ne veulent pas voir l'inéluctabilité de notre condition.
Du cinéma qui dérange voire dégoûte, une réalisation auto référencée mais assumée, et une proposition originale et intelligente qui nous plonge dans un bain de substance acide aux parfums d'élixir de jouvence. Mixture vénéneuse pour estomac bien accroché. Brillant.
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