celà nous a t'il appris quelque chose ? pour agir , faire ?non , toujours l'individualisme , le chacun pour soi !contre la privatisation des barrages en france , dans nos vallées pyrenéennes , combien se sont levés ?? on peut le dire ; et les anglais ? ils viennent de se tirer une balle dans le pied , leur systeme de santé va suivre le fil de l'eau , à vau l'eau
constat d'un ecocide annoncé , le marché , sacro saint marché , soutenu par des ecolos , defendu par de soi disant " elites "!! Marché =capitalisme = gaspillage = profits pour qqes uns = misere , mort pour des populations entieres ; liberalisme ? mensonge ! rien de liberal dans cette societé
La nature en a décidé ainsi, sans solliciter notre avis.
Après nous avoir plaisamment laissé nous amuser avec elle depuis plus d’un siècle.
La nature accablée, fatiguée, salie, polluée, blafarde, nous ferme les robinets d’approvisionnement. Les vannes de pétrole, de gaz, de charbon, de minerais, d’uranium, d’air, d’eau.
Son injonction est claire, et sans compassion ou mansuétude: sauvez moi ou crevez avec moi !
Lø
pas un peu court comme explication ?? La nature qui ferme les robinets ou les capitalos qui veulent se les garder ? et eux continuer à se goberger en laissant crever des populations entieres
Oui, tarissement au cours du siècle de nos ressources non renouvelables, et pour certaines à très court terme. Et avant toute ressource, le tarissement de l’eau potable. Entre la moitié et les 2/3 de l’humanité devrait être en situation d’alerte hydrique en 2025. C’est demain, certes les experts de l’UNO sont catastrophistes mais c’est assurément pour après demain. Le péril d’une disette d’eau douce existe donc bel et bien. En cause, certes il y a le réchauffement naturel de la planète pour lequel on ne peut pas grand-chose, mais l’agriculture et l’élevage industriels qui soutirent 70% de l’eau douce disponible, l’industrie environ 20% de l’eau potable et la consommation domestique avec seulement 10%.
Lø
on le sait , mais ça ne repond à rien ; à qui profite tout ce mode de production catastrophique ? qui a dirigé la planete , et encore , dans ce gouffre ? ceux qu'on convie à crever ? ; comme disait yvess : solution finale ; et on nous voudrait moutons , chut , silence ! la nature en a decidé ainsi ? à qui veux tu faire croire ça ?
L’irrigation et l’arrosage intensif accroissent la salinisation des sols agricoles.
La teneur croissante en sels dans les terres est un problème mondial mais n’est pas en relation avec le réchauffement global. Cette salinisation conduit à une réduction de la fertilité des sols par l’action nocive des sels sur les végétaux. Ceci entraîne une diminution des rendements des cultures et en fin de compte une stérilisation des terres.
Les sels dans le sol ont une origine naturelle par altération des roches encaissantes par les eaux de pluie et une origine humaine. Par l’action humaine, la salinisation des sols progresse dans le monde et concerne 1/5 des terres irriguées. Ceci fait perdre tous les jours 2000 hectares de terres cultivables. En deux décennies 1994 – 2014, la superficie totale des terres irriguées détériorées, souillées par le sel est passée de 40 millions d’hectares à plus de 62 millions d’hectares, c’est-à-dire une superficie équivalent à celle de la France.
Lø
quand on a les moyens notre voisin en Aragon , a vendu son troupeau de moutons , qui assurait un pacage regulier de zones non cultivées , et s'est mis à bloc dans la luzerne ; qui va là bas ; resultat :brousailles , besoins irrigation accrus , lessivage terres , couts de transformation , transport , etc , etc ; vive le capitalisme vert , et ça n'influe en rien les changements climatiques , bien sur
Et dire que pendant ce temps là,ils y en a qui font grêve pour avoir une meilleure retraite dans trente ou quarante ans.
Ils ont bon espoir,les pauvres......
n'importe quoi ! pourquoi un suicide collectif ?? tant qu'à organiser , organisons la fin du mode de production capitaliste , decidons enfin collectivement de ne plus laisser la maitrise de la production à la bourgeoisie , hors du cercle infernal : proprieté privée des moyens de production , exploitation , profit , gaspillage ; il y a des reflexions et propositions en ce sens ; pourquoi ne pas y travailler ? pas besoin de manifs suppliantes pour ça ; peut etre plus facile de quemander , de garder et faire garder l'illusion qu'avec les dirigeants actuels , on arrivera à les faire prendre de bonnes decisions , plutot que se responsabiliser pour construire un autre mode de vie
le capitalisme n'est il pas toujours assez confortable pour beaucoup , dans ce qu'on appelle la petite bourgeoisie ? et pour une grande part des humains dans la misere , leur plus grande preoccupation est de survivre
Pour revenir à la salinisation des terres que des journaleux peu scrupuleux attribuent sans réfléchir au réchauffement climatique, il convient de dire que la dégradation des sols par le sel est le résultat communément d’un mauvais drainage.
Une partie de ce sel est naturellement déjà présent dans le sol, mais la majeure partie est emmagasinée par les sols agricoles quand les agriculteurs arrosent trop leurs parcelles. Le sel s’évacue en petites quantités avec l’eau qui s’infiltre jusque dans les rivières, et cette eau qui vient grossir les se retrouve à nouveau dans les récoltes, puis elle est drainée ou s’évapore, mais les sels sursaturés demeurent dans les sols. Ils se concentrent à la surface des terres irriguées qui deviennent toxiques et stériles.
Actuellement, vingt pour cent des terres irriguées ont leur rendement plus faible à cause de leur salinisation. Les déficits de productivité fluctuent d’une région à l’autre de 15% à 70%. Économiquement, ces pertes de productivité et de rendement des terres souillées par la salinisation sont évaluées à 24 milliards de dollars par an.
Le cas le plus symptomatique est celui de la mer d’Aral. Là, la culture intensive du coton a entraîné une incontestable catastrophe écologique et altéré les sols de la région. Dans le monde, le bassin du Gange et de l’Indus en Inde, le bassin du Fleuve Jaune en Chine, celui du Tigre et de l’Euphrate entre Syrie et Irak ou encore la vallée de San Joaquim en Californie et le bassin du Colorado pour ne citer que quelques exemples, doivent faire face à ce problème.
Lø
Environ 600 pesticides, c’est-à-dire tout ce qui regroupe insecticides, fongicides et herbicides, ont été retrouvés en France dans les échantillons d’eau prélevés pour le programme de surveillance de la qualité des eaux souterraines. La presque totalité des eaux souterraines est contaminée par l’utilisation excessive de pesticides depuis plus plusieurs décennies.
Ils sont bien sur employés en agriculture pour la protection des récoltes mais également pour l’entretien des jardins !
Les désherbants employés dans les jardins entraînent eux aussi une pollution des eaux par infiltration et par le ruissellement. Sans conscience, nombre de jardiniers ou nettoyeurs d’allée de graviers ou de sorties de garage, sont donc responsables d’une partie de la pollution des eaux, de la même façon que les collectivités locales ou les infrastructures de transport comme les bords des routes et les voies ferrées.
Voilà pourquoi ces herbicides ne sont plus en vente libre France depuis janvier 2017, ais uniquement en vente libre. Le 1er janvier 2019, la commercialisation des pesticides chimiques a été interdite aux particuliers, mais uniquement aux particuliers.
C’est pas mal, mais ce n’est pas suffisant, car ce sont essentiellement les éleveurs et agriculteurs qui traitent le plus avec ces produits chimiques.
Il y a une augmentation de cours d’eau et de nappes phréatiques infectés par les pesticides et les nitrates.
L’agriculture intensive a accru l’emploi de ces produits d’environ 18% en 5 ans. Ils se retrouvent dans les cours d’eau à des doses bien supérieures à la norme autorisée dans une bonne moitié du territoire français
Depuis longtemps on le sait, mais on ne fait rien !
La contamination est monstrueuse et touche plus de trente pour cent des eaux souterraines !
L’élevage – agriculture industriel résulte à une immense pollution des eaux due pour 70% aux pesticides et 25% aux nitrates issus des engrais azotés
C’est certainement la même chose dans les autres pays qui pratiquent une agriculture de même type.
Lø
"on", tu sais pas qui c'est ?
Bah c'est ceux qui ont créer cette situation pour s'en mettre plein les fouilles le plus rapidement possible, sans s'inquiéter de demain !
La finance ne connaît que le court terme .