La FFN avait reçu l'interdiction de la manifestation dès samedi et n'a informé personne, croyant avoir gain de cause en justice contre le prefet de police.
Mais la FFN et l'APNEL perdent tous leurs procès, contrairement à ce qu'ils annoncent dans la presse.
Prochaine débacle judiciaire dans 4 jours à Nimes.