nalibi a écrit :
En tout cas la comparaison avec le Cap D' Agde et Lourdes me fait rire sincèrement.
Je ne suis pas retourné à Bruxelles et Bruges depuis l' été 2008.
Tiens et si je faisais mon retour en 2018, par exemple pour apprécier le bonne bière.
Vous avez remarqué que je n' ai fait aucune pub pour le bon vin français.
Jean Pierre
Naturiste très Européen.
Lourdes, deuxième cité hôtelière de France:
Avec une capacité hôtelière de 12.000 lits, la ville de Lourdes dame le pion à Nice, juste derrière Paris.
Sans échapper aux lois implacables du marché ni à l'évolution des moeurs, Lourdes conserve sa position de deuxième ville hôtelière de France devant Nice, malgré un nombre inférieur d'établissements : 194 alors que la belle Azuréenne en totaliserait plus de 200.
Haut-lieu de pèlerinage international (5 millions de visiteurs en 2010 dont 3 millions d'excursionnistes), la cité mariale propose en revanche une offre supérieure en termes de chambres d'hôtels tous niveaux : «12 752 (1) contre environ 10 000 dans la ville des Alpes-maritimes» avance Corine Laussu, chargée de promotion et communication à l'Office de tourisme lourdais. Il n'y a pas si longtemps, Lourdes comptait 230 hôtels. En une décennie, près de quarante d'entre eux ont dû fermer leurs portes faute de pouvoir s'adapter aux normes de sécurité, de confort et d'accessibilité françaises et européennes toujours plus exigeantes.
Scindée en deux syndicats (Union des métiers de l'industrie hôtelière lourdaise affiliée à l'UIMH et Syndicat des hôteliers adhérant à la Confédération indépendante de l'hôtellerie), la profession comptabilise en moyenne, d'avril à octobre, 3,2 millions de nuitées marchandes.
Quasi disparition des pensions de famille et meublés du siècle dernier, régression des établissements 1 et 2 étoiles, explosion des 3 étoiles, progression de la catégorie luxe : les tendances confirment une hôtellerie de capitalisme local quelque peu atypique en dépit d'une percée des franchisés.
Une clientèle à majorité italienne