dedeolive a écrit :
loetba a écrit :
anonyme a écrit :
critiquer des morts, quii ne sont plus là pour se défendre.
Pas certaine!
Ca sent la nuit des morts vivants, bien qu'avec les Bogdanof, on peut se demander si ce n'était pas des zombies, vu l'état avancé de leur décomposition!
En plus du botox mentionné par Moustapoil, je me demande si il n'y avait pas aussi du formol pour la conservation!!
Lø
Là, s'en est vraiment trop!
Lola, il me semble qu'il y a quelque chose à faire!
Ne faudrait-il pas se détendre et réintégrer la notion de lecture à différents degrés.
Souvenons nous de Desproges, Le Luron, Coluche, etc…. qui sans doute auraient été bien plus cinglants.
Si comme tristement aujourd’hui leurs propos avaient été interprétés au premier degrés, jamais ils n’auraient pu nous apporter rires, distance mais aussi tendresse.
Derrière ces lectures au premier degrés, avec les dénonciations immédiates de la bien pensance , c’est une terrible réduction de la pensée, de la liberté et de l’utilisation de la langue française dans toute sa richesse qui se joue.
Aujourd’hui on célèbre ou on s’offusque…dans ce même mouvement de fracturation de la société en deux blocs sur tous les sujets, les pour et les contre, irréconciliables.
Pour ce qui est des Bogdanof, ils ont eux mêmes mis en scène avec provocation et de façon assumée et revendiquée leurs transformations successives. Même si oui la mort se respecte elle ne transforme pas en saint..
Et dans la mesure où ils ont fait choix du spectacle, il est tout à fait logique que le spectacle continue.
Un peu de distance, d’humour sont absolument nécessaires. Notre société, les français et les françaises sont entrain de sombrer dans les abîmes de la bêtise. C’est terrible.
Saint-Marcel-d'Ardèche
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