cst a écrit :
La violence par les femmes, oui cela existe. En ce moment, en Touraine, il y a un cas qui va être jugé, de tentative d’étranglement sur le mari et de violence à enfant.
L’étranglement du mari, était bien excusable, par contre la violence à enfant ne supporte aucune circonstance tolérable et acceptable.
geryetlulu a écrit :
Si ça ce trouve elle va plaider non coupable du fait quel pratique le sado-masochisme
Tu veux dire plaider coupable dans ces circonstances et s’en tirer à bon compte. Que si elle plaide non-coupable, ne reconnaissant pas le faits, le procès sera plus long et la sanction plus lourde !
geryetlulu a écrit :
"il me frappe mais je l'aime" est assez courant dans ce genre de situation.
Ben oui comme déjà dit peut-être le début d'une belle relation sado-masochiste quand on aime on frappe fort dans ces cas là
De tout temps il y a eu des conflits violents chez certains couples de façon telle que la chason populaire s’en est emparée.
Ils étaient amoureux,
Ils s'aimaient tous les deux,
Ils étaient heureux.
Chaque soir, chaque matin,
Ils allaient au turbin,
Le cœur plein d'entrain.
A l'atelier, ses copines lui disaient :
"Pourquoi tu l'aimes tant ton Dudule ?
Il n'est pas beau,
Il est mal fait !
"Mais elle gentiment répondait :
"Z'en faites pas, les amies, ce que j'aime en lui..."
"C'est la grosse bite a Dudule,
J'la prends, j'la suce, elle m'encule,
Ah les amies, ah c'que c'est bon,
Quand il m'la carre dans l'oignon !
C'est pas une bite ordinaire,
Quand il m'la fout dans l'derriere,
J'me sens soudain toute remplie,
Du cul jusqu'au nombril,
Ah Dudu-u-le."
Ca devait arriver,
Ils se sont mariés,
Ils ont convolé.
D'abord ca tourna rond,
Lui caressa l'menton,
Lui flanqua des gnons.
A l'atelier, ses copines lui disaient :
"Pourquoi tu l'tues pas ton Dudule ?
Il t'a battue,
Il t'a cirée !
"Mais elle gentiment répondait :"
Z'en faites pas, les amies, ce que j'aime en lui..."
"C'est la grosse bite a Dudule,
J'la prends, j'la suce, elle m'encule,
Ah les amies, ah c'que c'est bon,
Quand il m'la carre dans l'oignon !
C'est pas une bite ordinaire,
Quand il m'la fout dans l'derriere,
J'me sens soudain toute remplie,
Du cul jusqu'au nombril,
Ah Dudu-u-le