Parlons sports

On ne peut pas tout avoir, Ivess... Tu le sais bien !

ce que je sais bien c'est qu'on n'a jamais vu les footeux se défoncer pour obtenir un résultat comme le font les handballeurs, basketteurs, volleyeurs . . .
et aussi les handballeuses

Et pourtant onze médailles de plus ça gonflerait vachement le total.

Concernant la réponse d'Ivess, c'est le fric qui pourrit tout : les joueurs ont déjà tout ; pourquoi dès lors se défonceraient-ils davantage ?
Et puis allez ! bonne chance à tous les finalistes confondus (hommes et femmes).... !

Merci, tout le monde le sait . . .

Tu oublis le rugby a 7 f : médaille d'argent

Au temps pour moi

Vu que c'est tous des jeux de babale ils devraient faire aussi la balle au prisonnier

Nous allons dépasser les 30 médailles ! Super !

Par contre en athlé discipline phare des J.O ca sent le fiasco comme souvent.

Oui, nous avons l'argent de MAIER, que nous reste-t-il ?...

Ce que j'adore, dans le sport, entre autres :c'est que :
En cas de victoire: Nous avons gagné!
En cas de défaite :ILS ont perdu !

Pierrot74 a écrit le 06/08/2021 20H08
Oui, nous avons l'argent de MAIER, que nous reste-t-il ?

Ben, à le dépenser, son argent, tiens !

Allons qu’est-ce tout ceci quand la moitié de la planète attend de savoir si Messi se retirera ou non dans la maison de retraite Quatari de Saint-Germain en Laye.

Avec le PSG financé par le Qatar , la devise de mai 68 "jouir sans entrave" devient "dépenser sans entrave".
Batir une équipe, grace aux pétro-dollars, avec des joueurs étrangers de prestige mais vieillissants (Beckham , Buffon,Dani Alvès, Sergio Ramos, Messi) c'est, sportivement, du n'importe quoi et ça contribue à affaiblir tous les autres clubs français de L1 qui galèrent financièrement.

Belle victoire de nos handballeuses pour clore ces J.O. de TOKYO que la France termine finalement à la huitième place, auréolée entre autres de ses 10 médailles d'or... A présent, vive Paris 2024 !

La FFF n’a pas exigé que les joueurs incluent dans leur contrat avec les clubs une clause libératoire pour les Jeux Olympiques. Les espoirs étrangers enrôlés par les clubs français ont en grande majorité inclus cette clause. Ils ont donc étaient mis à disposition de la sélection nationale par leur club.
Les clubs français n’ont mis à la disposition de la sélection olympique que des jeunes remplaçants. Les jeunes espoirs titulaires étant gardés par leur club pour préparer la reprise du championnat national. Par conséquent, le sélectionneur c’est retrouvé avec un groupe de jeunes remplaçants dans leur club, ne se connaissant pas, n’ayant jamais joué ensemble, et n’ayant pour certains jamais été sélectionnés en équipe de France espoir.
La piètre prestation de l’équipe de France de foot aux JO n’est pas imputable aux joueurs qui ont mouillé leur maillot comme les autres, mais (1) aux présidents de club qui n’ont privilégié que leur intérêt, (2) au président de la ligue professionnelle (mais ce sont les mêmes) et (3) au président de la FFF qui n’a pas exigé la mise à disposition des joueurs.
Aux Brésil et en Espagne, entre autre exemple) cette priorité aux sélections nationales existe, résultat : ces deux sélections sont finalistes du tournoi olympique.
Lø

Pierre de Coubertin souhaita adopter une devise olympique lors de la création des jeux de l’aire « moderne » en 1894 pour exprimer l’excellence dans le sport. Il emprunta cette devise à un prête dominicain de ses amis, Henri Didon, « citius, altus, fortius ». Plus vite, plus haut, plus fort !

Cette devise de trois mots encourage à donner le meilleur de soi lors des compétitions. Elle a été bien évidemment dévoyée de sa morale première par des marchands de rêves en proposant aux athlètes des produits dopants pour atteindre une inaccessible étoile. Des contrôles ont été mis en place, de plus en plus performants et difficiles à déjouer.
Il convient de ne pas faire l’amalgame entre record et dopage. C’est déplacé.

Dans un temps pas si lointain, les pistes d’athlétisme étaient en terre battue ou en gazon, puis sont venues les pistes en cendrée amenant de nouvelle performances, puis les pistes sont devenues synthétiques avec des compositions toujours plus adaptées entraînant de nouveau records.
Pareil pour le matériel : les perches en bois n’avaient pas le rendement des perches en fibre de verre…
Les techniques ont aussi évoluées, du saut en « ciseaux », les athlètes ont adoptés le « rouleau ventral » puis Dick Fosbury en 1968 a introduit le saut dorsal que tous les athlètes ont maîtrisés.
Cette année, les chaussures déjà utilisées par les marathoniens ont été homologuées pour les courses sur piste. La coïncidence d’une piste synthétique rapide, du talent, de bonnes chaussures et de bonnes conditions atmosphériques a fait que des performances ont été au rendez-vous.

Le meilleur dopage, c’est le travail. Travailler bien et plus que les autres sont les recettes du succès.
Quand on a l’amour d’un sport, il vous le rend bien.
Il ne faut pas chercher plus loin. Il y a des analyses et des gens pour ça.
Lø

On peut se demander ou est le sport dans cette soupe...
Si je me souviens bien, quand j'étais gamin, les JO, c'était des amateurs, les pros n'y avaient pas droit. ET là, on voyait des prouesses, certes par des inconnus, mais c'était du sport...( bon, il n'y avait pas de foot, je crois).

en réponse à Loetba sur l'équipe de France de foot

Merci, ça aussi je sais mais j'y englobais la brillante prestation de l'équipe de France à l'Euro il y a qqs mois

Bonsoir Ivess... Tu passes au Café ?