Posté le : 23/01/2022 18H41
La vaccination obligatoire s’inscrit dans la médicalisation obligée de l’homme, sacrifié sans honte sur l’autel du business et du profit.
Dans le futur proche, on en a la preuve aujourd’hui, l’individu sera réduit à une chose, à un organisme expérimental et dépersonnalisé. Les anxiolytique et antidépresseurs dont les ventes s’envolent, les comprimés du bonheur…etc, scellent la fin de l’être libre et affranchi, la molécule de soumission et de servitude, d’obéissance entend soumettre le vivant et l’existence à l’épreuve de la science.
Les comportements non conformes à la norme seront anormaux, soumis à médication forcée, au nom de la santé et de la liberté, comme dans les hôpitaux d’aliénés, dits psychiatriques.
Dans la médecine affairiste, le Remdevisir en est un exemple effroyable, l’énorme budget de la santé compte plus que les 90% de la population vacciné. Je comprends que ce soit dur d’être complice de cet état-là.
Il faudrait que pour vivre pleinement, les personnes soient « obligatoirement » vaccinées contre le coronavirus de la covid. Uniquement dans ces conditions elles pourront jouir de la vie, se distraire, consommer. On veut les obliger à accepter une thérapie génie, pas totalement efficace, pour fuir leur moi et leurs anxiétés, leurs craintes, donc la gêne d’être soi.
Je suis vaccinée, et mon carnet de vaccination est plus que rempli, MAIS, je ne peux pas, au fond de moi, être associée et solidaire de cet environnement là.
Pour cet idéal potentiel d’immunité collective, les finances publiques sont dévastées au nom de la santé.
On constate que le découragement et le désespoir s’installent au même titre que la dépression. Des personnes très âgées meurent dans la claustration. On voit encore des hôpitaux qui ferment des services, des lits sont supprimés, des opérations différées, des personnels suspendus et les autres épuisés...
Il existe cependant des solutions. Leur efficacité n’a pas été scientifiquement contestée.
Mais les lobbies pharmaceutiques les ont disqualifiées, rapidement et durement, leurs promoteurs désapprouvés et blâmés, d’autres ont été bannis, certains effrayés et menacés, réduits au silence, exposés à la vindicte publique et roulés dans la boue comme des escrocs. Accusés de délation et d’empêcheurs de conflits d’intérêts, pour avoir mis en avant et prescrit, crime de lèse-bigpharma, et soutenu qu’un médicament à prix décent peut être efficace et sans danger.
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