SANTE

Positif... C'est-à-dire ?

ben que le coeur est en souffrance à l'effort

Pour moi la prise de sang de se matin, me rassure ,passe une mauvaise nuit, donc pas de problème cardiaque

Surtout éviter d'aller chercher des renseignements pertinent sur les forums tels que celui de Doctissimo.

Bon voilà, c'est fait, yapuka attendre les résultats, 2/3 semaines, rdv le 6/06 . . .

Ce n'est pas plaisant d'être malade, mais il faut être philosophe et penser au musée pathologique, pour la science!
Témoignage:

De l’hôpital, vieille pratique,
Ma maîtresse est une catin,
Dont le vagin syphilitique
A vérolé l’quartier Latin.
Mais moi, vieux pilier de l’école,
Je l’aime à cause de son mal,
Oui de son mal.
Nous sommes unis par la vérole,
Mieux que par le lien conjugal

Oui la vérole nous assemble :
Sous les mêmes lois, tous les deux.
Nous vivons, nous souffrons ensemble,
Plus heureux que les demi-dieux.
Tous les matins, choquant nos verres,
Nous buvons le Van-Swieten,
Le Van-Swieten,
Et nous partageons en frères
Les pilules Dupuytren

Nous transformons en Pharmacie
Le lieu sacré de nos amours.
Les plumaseaux et la charpie
S’y confectionnent tour à tour,
Tandis qu’avec le bichlorure,
Elle me fait des injections,
Des injections,
Avec l’axonge et le mercure,
Moi je lui fais des injections

Délassement de l’innocence,
Je regarde chaque matin
Si quelque nouvelle excroissance
Ne vient pas orner son vagin.
Tandis qu’avec un œil humide,
Elle me jette un timide regard,
Timide regard,
Sur mon corps que les syphilides
Ont tachées comme un léopard

Goutte à goutte, de sa matrice,
Comme d’un alambic fêlé,
Son urine suinte et glisse
Le long de son cul tout pelé.
Son con est une casserole
Où fermentent en écumant,
En écumant !
La chaude-pisse et la vérole
En leur fétide accouplement

Sa bouche est un cloaque immonde,
Toujours bavant, toujours puant,
Où tous les vits de ce bas monde
Ont craché leur foutre gluant.
Elle n’est que lèpre et pourriture
Et les chiens qui, dans le ruisseau,
Dans le ruisseau !
Prendraient sa viande en pâture
S’empoisonneraient jusqu’aux os

Ses cuisses ont des reflets verdâtres,
Ses seins sont flasques et flétris,
Dans son con les morpions jaunâtres
Sur le fumier ont leur logis.
Mais moi, j’aime mon amante
Et je voudrais jusqu’à demain,
Jusqu’à demain :
Lécher de mes lèvres brûlantes
Le foutre de son vieux vagin
Quand nous serons las de la terre,
Nous cesserons tout traitement,
Et, rongés par un vaste ulcère,
Ad patres, nous irons gaiement.
Mais nous ferons une supplique,
Pour être tous les deux portés,
Tous deux portés,
Dans un musée pathologique,
A la section des vérolés!!!!

Ce n'est pas plaisant d'être malade, mais il faut être philosophe et penser au musée pathologique, pour la science!

Bonsoir.
Existe t'il aussi un musée pathétique qui expose les cas comme le vôtre?.
Bonne soirée.
Bernard

Cela illustre parfaitement votre façon de vous comporter sur un certain site. ....Le vernis craque Madame...

Demain Rdv 10h30 à Nîmes Hôpital

On pensera à toi, Claude ! Bon courage...

peut'on juger de la vie privée
de mr et mme lo ???????
pour le savoir il faut aussi etre sur c'est site ??????

allons nous devenir aussi un tribunal merdiatique ?
sacré evolution de notre société

peut'on juger de la vie privée
de mr et mme lo ???????
pour le savoir il faut aussi etre sur c'est site ??????

allons nous devenir aussi un tribunal merdiatique ?
sacré evolution de notre société;

Bonsoir .
Je ne m'occupe pas de la vie privée des gens, mais quand celle ci déborde de vulgarité sur le forum, j'estime avoir le droit de dire que ce comportement me choque .
Je conçois tout à fait que vous ne le soyez pas.
Bonne fin de soirée pour chacun et chacune d'entre vous.
Bernard
Quand on veut que sa vie privée le soit, on ne l'étale pas sur un site que tout le monde peut consulter, sans faire de code ou de manipulations spécifiques . Je pense donc ne pas avoir dévoilé ce qui n'est absolument pas privé.

Je t'aime, je t'aime, je t'aime !
Je vis mon martyr
L'enfer et le pire
Je n'ai rien à dire
Que te dire je t'aime !!!

Mais, si tousles gens qui disent du mal de moi, savaient ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage.
Malheureusement, tous les gens qui disent du bien sur moi, et bien, le disent mal!!!

Lø

Ballade du microbe

Je faisais le trapèze un soir au bord du gange
Insoucieux comme un microbe enfant
Lorsqu'un matelot qui s'occupait de vidange
A ma famille m'arracha triomphant
Cet affreux gabier, perdu d'intempérance
De rhum et d'eau d'Aff quarante jours m'arrosa
J'allai claquer lorsqu'en pays de France
Le long d'un mur, pâle il me déposa.

Chouette ! m'écriai je en tombant sur mes pattes
J'ai rien de cassé, sauvé merci mon Dieu
Après un pleur versé sur mes pénates
Je relevais le nez pour m'orienter un peu,
Toulon dormait sous la lune tranquille
Je quittais les lieux, et sans perdre un instant
Je m'en allais faire un tour en ville
Dans l'intérieur de quelques habitants.

Voilà deux mois de ça, ma renommée est faite
Je suis le plus pschutteux des microbes vantés
Tous les journaux tartinent sur moi, mazette !
On me tire au flanc dans toutes les Facultés
Comme un vainqueur qui s'est couvert de gloire
Je marche précédé de la prémonitoire
Les borborygmes à moi, c'est mes tambours.

Y a des médecins qui me traitent de sporadique
D'autres plus malins qui disent que c'est pas vrai
Que je pourrais bien devenir asiatique
Il est morbus, dit l'autre, c'est avéré !
Morbus ou non, je m'en tamponne la prunelle
Je sais pas mon nom, et ça me donne peu de tracas
Quand j'étais petit, dans la fange paternelle
Papa m'appelait "Psitt", maman ne m'appelait pas.

Je caresse un rêve, c'est de lâcher la province
Je sens en moi-même des appétits de noceur
Pour un microbe, aussi bien que pour un prince
N'y a qu'à Paris qu'on se la passe en douceur
Dans les boyaux de la grande Babylone
C'est pas la place qui manque assurément
Y'a bien Pasteur, le savant qui me chiffonne
Mais j'aime à croire qu'il se tiendra gentiment.

Ayez pas peur, Parisiens, mes petits frères
Mon but, parole, est simplement de m'offrir
Quelques lardeux de gros propriétaires
Qu'aiment pas le pauvre peuple et le font toujours souffrir
Ajoutons y trois ou quatre mille concierges
Quelques huissiers curés etc...
Dites donc, je crois bien que vous y devrez des cierges
A ce brave petit microbe du Choléra !

R.C.

Ve 10h30 a 14heures, je quitte Nîmes enfin

Tout s'est bien passé ?

Prochain Rdv dans 2 mois

Les contrôles servent à prévenir, et c'est tant mieux...

Est-ce douloureux ?