hulk40 a écrit :
Corail2 a écrit :
Dimanche soir sur la une ( heure à grande écoute )il y avait le film Camping où l'on a pu voir une scène où les gens jouaient au volley, les textiles d'un coté contre les naturistes de l'autre sans floutage avec les zizis qui se balançaient dans tous les sens et seins des filles en toute liberté .
Alors pourquoi flouter une émission dont le sujet est justement le naturisme ?
L'americanisation de la société qui est de plus en plus pudique pour certains trucs mais hyper voyeurs pour d'autres !!!!
Ce qui est drole , un jour je sais pu quel émission c'était , et le sujet mais y avait une rétro d'un reportage sur les naturistes diffusés dans les années 80 je suppose et ensuite d'autres filmés et diffusés plus tard et plus on allait vers le récent , plus y avait de floutage quand sur les anciens on voyait tout
Bonjour Hulk
Rappelons nous que le meilleur documentaire sur le naturisme reste " Vivre nu; A la recherche du Paradis perdu " de Robert Salis (1998) .
Le DVD est sur des sites de ventes en ligne, mais avec une large bande portant le mot " censuré " écrit en rouge, ce qui annule le message de simplicité qui émanait de ce film. Il me semble qu'un naturiste qui est comme habillé par un floutage est moins crédible en disant que la nudité est une forme de bien être pour le corps et de liberté dans sa tête, qu'en laissant cette totale liberté s'affirmer sans cette censure qui conforte l'idée que le sexe en tant qu'organe est honteux alors qu'il n'est qu'une partie du corps comme le sont les genoux le menton ou les épaules.
Vous avez raison, l'Amérique ( tout au moins les USA) à la fois conservatrice et pudique mais capable de tous les excès déteint sur nous.
Il est aussi paradoxal de constater que la France est la première destination naturiste au monde, mais qu'elle n'assume pas cette nudité simple qui génère des revenus substantiels, en autorisant cependant celle souvent inappropriée du milieu cinématographique.
C'est de la pure hypocrisie n'est ce pas?.
Bonne journée pour vous et pour chacun et chacune d'entre vous.
Bernard