Posté le : 17/09/2016 17H54
Je m’attendais à des remarques acerbes voir acides à mes derniers propos. J’assume tout ce que j’écris et j’écris beaucoup surtout dans mes livres et articles.
Je suis fier d’être minoritaire à avoir mes propres idées sans vouloir moi les imposer et exercer un quelconque pouvoir et être à la merci d’un groupe constitué qui voudrait me massacrer, étant donné que je ne pense pas comme lui.
Le débat critique et constructif, c’est la seule façon de faire avancer un groupe et je m’y emploie, en acceptant de m’en prendre plein la gueule, du moins seulement chez les naturistes.
Dans d’autres associations à caractère humaniste et fraternel, on m’apprécie. Cherchez l’erreur !
Pour répondre à Ysssinat que je cite :
« le meilleur moyen de voir se réaliser tes pensées, c'est de les réaliser toi même!
Mais ton engagement Naturiste me parait très nombriliste, tu l'as dit toi même tu a baisser les bras à Euronat en abandonnant l'association, tes propos nous les connaissons, tu nous les répètes régulièrement, ils sont très restreint, ils n'apportent rien ou presque,
j'ai trouver tes propos envers Francine très graves, pour quelqu'un qui se dit intellectuel.. ».
Quant à Francine dont je fus avec elle à la base de la création d’ADN, beaucoup de gens ont fuir son nombrilisme et son autoritarisme, elle appelle l’association, je cite : « son bébé » cela montre bien où le bât blesse.
Je n’ai pas baissé les bras, mais je combats d’une autre façon que par les restos nus et apéros nus, c’est tout. Libre à moi.
J’ai déjà beaucoup donné pour le naturisme et gratuitement, bénévolement par mes conférences d’art, sur l’histoire du naturisme et tous mes articles dont mes interviews à propos de naturistes hors norme qui n’ont jamais la parole dans les médias officiels naturistes.
J’y ai passé des mois et des années…
Je suis sur un gros projet cet été et j’attends l’aval pour avancer de cheval et ça me tient très à cœur. Si ça se confirme, j’aurai l’occasion de toutes et tous vous rencontrer autour d’un verre du Médoc et toc. Histoire encore une fois de vous rendre compte que je ne suis pas le monstre que vous vous vautrez de présenter.
Quant à mon analyse du reportage, le son est dégueu, on entend du bruit dans la communication, il faut mettre à fond les enceintes pour entendre tous les propos. C’est juste un souci technique et pas pro qui est tout pardonné. L’idée du reportage est une excellente chose pour y voir l’ambiance sereine et bonne enfant qui y régnait.
Ma principale critique ne touche pas ce point-là, mais juste sur le programme des réjouissances qui ne se traduit pas aucune image, je cite :
« La nouvelle géographie de la nudité, de par le monde (en images) : nudité artistique – nudité revendicative (syndicale et politique), naturisme en liberté (dans les activités de loisir et de détente) ».
C’est ce côté qui m’intéresse dont on a eu aucun écho dans les images.
Mes analyses critiques tant positives que négatives proviennent d’une « science » qui s’appelle la sémiologie de l’image.
Je l’utilise pour tous mes articles concernant les images animées, quand je chronique un documentaire ou un film pour mes articles.
Si Lola tu veux me virer pour crime de lèse-majesté d’apporter un autre son de cloches et des solutions concrètes style GCU (voir mes interventions à ce sujet), libre à toi.
Autre point important et qu’il est faut souligner, pour en arriver en 2016 à ce que la FFN accepte de tenir un stand, ce ne fut pas un combat gagné d’avance, je sais qu’il y a eu beaucoup de résistance. Et devant (et tant mieux) le succès mérité et confirmé, bizarre bizarre tout le monde applaudit même les plus récalcitrants au départ.
C’est comme quand tu mènes une grève si tu gagnes tous tes collègues vont en profiter alors que toi tu as marné des journées de salaires et de luttes.
Etonnante nature humaine, me direz-vous !
Au fête j’ai déjà interviewé pour le Mague des membres influents de l’APNEL.