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AU JEU DES 7 FAMILLES NATURISTES, JE VEUX LA PLURALITE RESPECTEE

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Posté le : 28/03/2008 23H41
J’ai retrouvé ce court article qui date de quelques années. Les textes de loi ont encore évolué ou régressés, à vous d’apporter vos éclairages sur la question qui me paraît toujours cruciale, à notre époque actuelle du tout familial dans le camp retranché des naturistes.

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AU JEU DES 7 FAMILLES NATURISTES, JE VEUX LA PLURALITE RESPECTEE

Familles, je vous hais. Quelle blague ! Si j’en crois Elisabeth Roudinesco (1) le pouvoir du père est mort, vive le père. Les femmes maîtrisent leur émancipation et la procréation. Et, vla t’y pas que les homosexuels eux aussi réclament le droit d’enfanter et/ou élever leurs enfants de l’amour en plein jour.


Les naturistes palissés, policés dans leurs camps retranchés vont voir déferler à leur porte, ces hordes familiales nouvelle donne. A eux d’apprécier leur propre ouverture d’esprit.

Le pacs (2), en tant qu’aboutissement de la normalisation des couples homosexuels hommes et femmes, relève certainement d’un désir d’engendrer de la part d’une génération née entre 1945 et 1960 qui a été quasi décimée par le sida. En prétendant se passer de l’acte sexuel normatif pour concevoir une famille, ils transgressent sciemment un ordre procréatif qui a reposé depuis deux millénaires sur le principe de la différence sexuelle.


De fait, ils ont porté le coup de grâce aux courants réactionnaires hostiles par définition à toutes formes de progrès. Les mêmes qui pensaient que la législation sur la contraception et l’avortement allaient conduire à l’extinction d’une génération. Et pourtant, on est là !!!
Pensez aux initiatives prises par les homosexuels, déclara Pierre Legendre (3). Le petit épisode du pacs est révélateur de ce que l’Etat se dessaisit de ses fonctions de garant de la raison… Instituer l’homosexualité avec un statut familial, c’est mettre le principe démocratique au service du fantasme. C’est fatal, dans la mesure où le droit fondé sur le principe généalogique laisse place à une logique hédoniste héritière du nazisme.


Legendre a simplement la mémoire qui flanche. Les homosexuels furent brûlés à petits feux, sur le bûcher des avanies par les nazis.

Au commencement fut le régicide. C’est Balzac qui nous en propose sa version : En coupant la tête du roi, la Révolution a fait tomber la tête de tous les pères de famille. La figure tutélaire de Dieu le Père au panier de la comédie humaine, c’est la voie sacrée de l’émancipation des femmes qui s’opère. Entre 1889 et 1935, le père est dépossédé de la moitié des ses pouvoirs et il abdique ses derniers droits entre 1935 et 1970


En 1935, le droit de correction paternelle est aboli, en 1970 l’expression « chef de famille » aboli l’idée de « puissance paternelle » et, cinq ans plus tard, avec la législation de l’avortement, les femmes arrachent à la domination masculine la maîtrise presque complète de la procréation. Après s’être affranchies durant le XXe siècle du devoir de procréer, les femmes aujourd’hui ont la possibilité de devenir mères en se passant de la volonté des hommes. Soit en adoptant, soit en recourant à l’insémination artificielle, soit en taisant au père leur maternité. A l’inverse, elles peuvent aussi contraindre un homme à être père en recourant aux tests génétiques. Elles peuvent tantôt le désigner, tantôt l’exclure. C’est dire leur toute puissance dans les sociétés démocratiques. (4)


Fruit des luttes féministes légitimes pour le droit de disposer de leurs corps, certaines femmes influentes, issues de ces mouvements, n’ont pas hésité à réclamer une place au soleil pour asseoir leurs ovaires au sein des ministères et des sphères du pouvoir patriarcal. Annie Le Brun (5) et Marcela Iacub (6) avec leur griffe et leur finesse si personnelle n’ont pas manqué de relever leurs contradictions. Je voyais qu’on tombait dans une sorte de culte à l’ovule, à l’utérus et même aux règles… De plus, les féministes piétinaient la raison comme l’avaient fait auparavant ceux qui avaient assujetti les femmes… Et elles sont devenues de plus en plus androphobes, presque racistes envers les hommes, comme si le fait d’appartenir à cette catégorie était par principe une infamie (7).

Alors : famille monoparentale, homoparentale, recomposée, déconstruite et la suite…. Au choix de chacune et chacun d’y retrouver les siens.
Lors des deux séances hebdomadaires naturistes à la piscine Roger Legal de Paris, heureusement que la majorité de la population est homo, sinon l’association qui gère ces créneaux n’aurait plus qu’à laisser couler ses clés dans l’eau.
Rires et décontraction règnent ici peut-être plus qu’ailleurs. Et qu’advient-il de ces personnes gymniques quand l’été revêt ses habits de lumière ? Faut-il qu’ils montrent patte blanche, (un certificat de bonne moralité délivré par le médecin psychologue des consciences de la FFN), au comité d’accueil naturiste pour se prévaloir du droit d’entrer dans nos clubs et centres de vacances ?
Même ordre d’idée, la magnifique jeune femme noire en couverture du numéro 92 de la Vie au Soleil, doit-elle aussi se soumettre à l’examen de passage obligatoire sous prétexte que son bronzage intégral est trop naturel ? Faites vos jeux, rien ne va plus et éliminez qui vous voudrez. C’est bien connu, les bons comptes font les bons amis et comme les ami(e)s de mes ami(e)s sont vos ami(e)s. Sauf qu’au décompte, il se peut que vous vous aperceviez, que certains de vos proches manquent à l’appel du large, des culs qui vont tout nu. Quelle est la raison de ce déplorable malentendu ? Tournez votre langue trois fois dans votre bouche avant de répondre.

Elisabeth Roudinesco ne me contredira pas. Les multiples composantes de la famille hétérosexuelle ou arc-en-ciel ont encore de beaux jours devant elles. A nous naturistes, d’accueillir en notre sein bronzé, la richesse de cette palette des possibles, pour ne pas louper le coche, si nous ne voulons pas passer, ding ding dong, pour des cloches.

Franck Bart, Euronat décembre 2002 / janvier 2003



Notes

1 Elisabeth Roudinesco, historienne, La famille en désordre, ed Fayard, septembre 2002
2 Le pacte civil de solidarité, loi du 15 novembre 1999
3 Pierre Legendre, psychanalyste, entretien avec Antoine Spire, Le Monde du 23 octobre 2001, in Roudinesco idib
4 Elisabeth Roudinesco, Lire octobre 2002
5 Annie Le Brun, femme libre de corps et d’esprit en aversion naturelle pour les majorités et en phase avec son individualisme forcené (qui) est à l’exacte mesure de tout ce qui travaille à l’interchangeabilité des êtres. Auteure de Vagit-prop, Lâchez tout et autres textes, ed Ramsay-J.J. Pauvert, mai 1990. Textes visionnaires avant l’heure de la sidérante rage de pouvoir des féministes et de leur mutilation de l’imaginaire amoureux avec les mâles.
6 Marcela Iacub, juriste et chercheure au CNRS, auteure : Le crime était presque sexuel et autres essais de casuistique juridique, ed Epel 2002 et Penser les droits de la naissance, ed PUF 2002.
7 Marcela Iacub, Qu’avez-vous fait de la libération sexuelle ?, ed Flammarion, octobre 2002. Superbe manifeste en forme de satire gorgée d’humour qui se lit comme un roman et qui aborde sous forme de débats contradictoires entre les personnages, toutes les questions d’actualité liées aux représentations de la sexualité.





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Posté le : 29/03/2008 09H11
Je vois qu’il y a toujours et toujours une donnée absente et capitale dans ce genre de réflexion : "l’enfant" qui ne semble pas faire partie de l’espèce humaine pendant son processus de développement et tant qu’il n’a pas atteint l’âge adulte !
Et c'est toujours le droit ou non à l'enfant sans les droits de l'enfant .

D’autre part, comme le dit la singette, il ne comprend que couic aux sciences le Bartos… et c’est bien dommage car l’avortement est un problème bien complexe qui ne se limite pas à une opposition artificielle comme le formulent les libertaires et d’autres : les bons qui sont pour le droit à l’avortement et les méchants qui sont contre ce droit…

Si l’avortement permet de donner la primauté à la femme d’avoir ou non un enfant (comme si un enfant ça se faisait tout seul !), d’éviter les avortements clandestins dans de mauvaises conditions sanitaires qui peuvent causer des complications ou la mort, il permet aussi l’infanticide (je laisse de coté la religion et ses dogmes). Je perçois tout de même Franck qui me stéréotype comme un catho de droite, loin de moi cette étiquette qui ne peut coller à ma peau …

J’observe objectivement et raisonnablement les contradictions de ceux qui sont pour l’avortement, contre les armes nucléaires, contre la vente des armes, contre la peine de mort (qui sont généralement dans des partis de gauche) et ceux qui sont contre l’avortement, pour les armes nucléaires et pour la peine de mort (qui sont plus généralement dans les partis de droite), on pourrait croire que le problème se résume à une question de taille mais il y a aussi ceux qui sont à droite et à gauche ou à gauche et à droite. Si l’on est partisan de respecter la personne humaine, on doit l’être complètement, intégralement, et sans exception.

Mais un embryon ne devient humain qu’à partir du 4ème mois, avant il n’est pas réellement humain, cet embryon animé de mouvements avec une carte génétique unique n’a pas de conscience, ce n’est juste qu’une sorte de "parasite" puisqu’il ne pense pas.

Après avoir brièvement passé quelques temps de ma jeunesse dans des laboratoires qui m’ont vite désenchanté et fait fuir et bien mis à part la taille et le poids du fœtus ainsi que la taille du bocal de formol, il n’y a pas de différences entre un embryon de 10 semaines, de six mois ou neuf mois. Les médecins anatomo-pathologistes sont bien souvent en querelles avec les médecins légistes qui envoient l’autopsie de ces petits êtres dans leur laboratoire sous prétexte d'une petite taille, comme si l’embryon était ni plus moins qu’une sorte de tumeur qu’il faut enlever pour éviter le cancer … mais tout ceci n’est en fait que l’émotion forte qui surgit à la vue de ces petits êtres vierges. Mais pourquoi l’exérèse d’une tumeur ne provoque-t-elle pas la même satisfaction que l’exérèse d’un fœtus chez les chirurgiens mais une forme dégout accepté ? Et comme les armes, dont la finalité est aussi de donner la mort, les produits de milliers d’IVG permettent également d’enrichir l’industrie pharmaceutique et certains trafics illicites.

Il est toujours plus facile pour la société de couper des têtes que d’enseigner le respect de l’homme. Je ne désespère pas, un jour le "pour" ou "contre" l’avortement sera dépassé comme la guerre. L’hédonisme certes mais l’hédonisme humaniste… et qui sait, ce jour viendra peut-être quand l’intégralité de la société sera apte à vivre naturistement ? On peut rêver comme à l’APNEL, histoire de terminer mes propos positivement.

Aujourd’hui c’est "destination Nature", bonne journée !
Message edité par son auteur le 29/03/2008 19H23
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Posté le : 29/03/2008 16H24
bart
dans les années 45 /60 le sida "connais pas", la blénoragie oui, trois piqures et c était fini.
les pacs non plus n'existaient pas , il fallait se marier pour avoir droit au bout de sucre.
les moeurs nouvelles sont apparues au grand jour en 66 /68
et les générations actuelles en portent et supportent les concèquences.
et pour faire l'amalgame,tu fais l'impasse entre 1945 / 1985
soit deux générations. plus facile de lier ton laïus
quand à la vie en commun entre homosexuels lesbiennes et éthéros, fais tu une difference quand ils (elles) sont dans la rue à discuter ou boire un verre au troquet du coin?
moi non
oui si en public leurs comportement risque de choquer, idem pour les hétéro
salut la "brie colle"
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Posté le : 29/03/2008 19H29
lancetre a écrit : a écrit :

les moeurs nouvelles sont apparues au grand jour en 66 /68


Le droit à l'avortement en France c'est depuis 1975.
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Posté le : 29/03/2008 20H53
leurs conséquences ont suivies.
si l'avortement est fait pour éviter les "faiseuses d'anges",
c' est un point de gagné.
si c'est pour le droit de baiser comme des lapins,c'est la cata du respect humain.
le déviationnisme des lois est bien connu en france,
l'ambrion en cause n'a pas le droit à la parole
la moralité ?
après l'intérêt des protagonistes
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Posté le : 29/03/2008 21H31
Ah l'hédonisme humaniste ! tel que tu le déclames Christophe répond également à mes aspirations par delà la richesse de nos différences.

En revanche, je maintiens que le droit à l'avortement et d'engendrer pour les femmes seulement si elles le désirent a été une des plus grandes victoires sociétales.

Déjà, à la Belle Epoque, des anarchistes individualistes se battaient aux côtés des néo- malthusiens pour obtenir le contrôle des naissances. Ils démontraient que trop d'enfants dans les familles tuent la capacité à vivre décemment. A chacun selon ses maigres besoins, et l'humanité se libérera du servage du travail salarial et ses corollaires de la misère !

Pour en revenir à l'IVG, il ne doit apparaître qu'en dernier recours, car il s'agit d'une opération chirurgicale avec tous les séismes qui peuvent s'en suivre.
La contraception devrait être enseignée dans les collèges et lycées et que l'on vire les curetons qui y sévissent à l'aune de l'école publique et ses aumôniers !

Enfin, je n'ai peut-être pas assez insisté sur le phénomène de rappropriation du corps plaisir des femmes libérées du carcan de l'enfantement obligatoire grâce à la contraception et donc de la domination masculine (cf Bourdieu).
Le corps plaisir avait à nouveau droit de citer selon le slogan "Jouissons sans entrave".
Au lieu et faits de dévastation de la place intime des femmes qui ne devaient "baiser" que pour enfanter.

Et si encore de nos jours d'aujourd’hui, un comble, les homosexuel(le)s sont encore stigmatisé(e)s c'est encore à cause de ce tabou qu'ils appartiennent à cette population qui n'enfante pas puisque le lien familial est considéré comme le ciment de notre société.

A lancetre, certes la pandémie du sida a aussi assigné comme bouc hémisphère les populations qui ne répondaient à la norme affichée sur les frontons des églises.

D'où la politique de salubrité publique qui consiste à enseigner la sexualité sous toutes ses formes avec les moyens de la vivre en toute sérénité et fraternité dans le respect de ses partenaires.


Fraternité de Franck dit Bart

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Posté le : 31/03/2008 09H17

Je reviendrai participer à ce forum quand l'un des propos favoris de M. Bart sera enseveli dans les profondeurs des archives : le camp retranché des naturistes.
Ce monsieur qui par ailleurs est atteint de délire du discours interminable, confus et pompeux, est une nuisance du naturisme.

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Posté le : 31/03/2008 16H22
Christian G. a écrit : a écrit :

Je reviendrai participer à ce forum quand l'un des propos favoris de M. Bart sera enseveli dans les profondeurs des archives : le camp retranché des naturistes.
Ce monsieur qui par ailleurs est atteint de délire du discours interminable, confus et pompeux, est une nuisance du naturisme.



Adieu ? [doute]
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Posté le : 31/03/2008 16H59
bjr
non christian,
il ne faut pas quitter le forum, car tu lui laisses champs libre , il peut ainsi régner sur le site et faire digression
à volonté. sur toutes propositions autres que les siennes. c'est son jeu ,
pour bart
je pense que tu voulais dire:" bouc émissaire et non hémisphère" ; sur les frontons des églises je n'ai jamais vu de textes sur la sexualité
amicalement
lancetre
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Posté le : 31/03/2008 17H27
Juste une observation à vos réflexions afin de les étayer un peu, voici l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui est toujours d’actualité en 2008 même chez les naturistes :

" La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. "

PS : Je n’ai pas encore vu Franck dit Bart déployer une banderole comme il ya eu en début de seconde période du match disputé au stade de France à Saint-Denis.


Message edité par son auteur le 31/03/2008 17H32
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Posté le : 31/03/2008 18H47
la digression tu connais , ou tes antennes de fourmis sont elles coupées?,
de toutes façons , à chaques fois que tu intrviens c est hors sujet. tu digresses
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Posté le : 31/03/2008 21H20
lancetre a écrit : a écrit :
la digression tu connais , ou tes antennes de fourmis sont elles coupées?,
de toutes façons , à chaques fois que tu intrviens c est hors sujet. tu digresses
lancetre


Définition du dictionnaire : Développement qui s'écarte du sujet principal

Exemple pratique : Le commentaire de l’ancêtre sur le sujet évoqué par Franck dit Bart est une digression (puisqu’il s’écarte du contenu évoqué par Franck) … encore une fois de plus : Faites ce que je dis, mais ne faites pas ce que je fais ! (moralité à deux balles digne de nos ancêtres, et encore, pas les miens en ce qui me concerne)

Digression ou pas du sujet, en France les seules restrictions sur la liberté d’expression se résument principalement aux propos incitant à la haine raciale, religieuse, l’orientation sexuelle et tout ce qui appel au meurtre.

Fait un effort sur la sémantique, ou greffe-toi des antennes (au moins une paire), mais j'ai un doute sur le résultat.

Bonne nuit !
Dernière réponse de christopheRépondre