loetba a écrit :
Aussi, jouet des vents qui l’hiver me rudoient,
Sur des talus où vont se fanant mes appas,
En un dense réduit où je n’ai point de joie,
Veux-je conter ce don que Thyrsis bafoua.
(Poète anonyme Montpellier, poème publié dans le Canard au début des années 60)
Appas rayés, appas rente, appas rats…il ne faut pas se fier aux appas rances. Dans la rue aux appâts, elle ne voudra pas de vos appâts, la chienne, sachant combien elle fut appâtée de fois !
Aussi, jouant des vits que l'envers m'y rudoie
Sur les phallus où vont se tannant mes appas,
Dans un dense réjoui où je n'ai point de doigt,
Veux-je dompter ce con que Thyrsis bafoua.