A mon Pellemèle préféré !
Tu as su percé ma carcasse et me mettre à nu avec tes maux doux.
Comme toi, sous-marin, je navigue entre deux eaux troubles
Je suis un pervers polymorphe qui a raté son existence sur le pas de sa porte.
On se ressemble, personne ne nous aime. Personne ne nous reconnaît à notre juste valeur. C’est aussi pourquoi, je te pardonne ton agressivité à mon égard. Je le prends comme le regard de ton amour.
Je ne sais pas toi si tu crois aux paroles des chansons qui ne sont en fait que le reflet des tranches de vie où l’on peut retrouver une partie de soi.
Ainsi je te dédie celle intitulée
Citation : a écrit :
L’amour dans la gueule
de Hirschfeld / Pipin (in l’album Odeurs De l’amour)
«
Citation : a écrit :
Devant ce bel athlète
Qui me bourre le menton
Je suis comme une fillette
Mes gans sont en coton
Je ne pourrai jamais abîmer son minois
J’implore un doux baiser
Je reçois un coup droit (…)
Quelle force dans cet homme
Qui me jette au K.O
Je vais tomber dans les pommes
Sans baiser sans un mot
Il m’envoie au tapis
J’ai besoin de caresses
Je le veux dans mon lit
Il serait ma maîtresse »
Moi, si je suis affreux sal et méchant, j’ai des raisons :
«
Citation : a écrit :
Comme tous les enfants, à cinq ans
Je voulais épouser mon père
Et partouzer mes grands-parents
Avec mes dents châtrer mes frères
Nous étions une famille unie
Inceste, alcool, scatologie
Je n’ai jamais manqué de rien !
Quand mes parents sortaient d’asile
J’avoue que c’était plutôt rare
Nous passions des vacances tranquilles
Dans les plus merdeux dépotoirs !
»
(Le stade-nasal / (Costric / Pipin / in Odeurs 1980 No sex !)
Toi aussi tu a du souffrir le martyr, et l’enfance, l’adolescence qui se tire à tire d’aile et t’as rien vu venir. Tu te retrouves tout seul, sans papa et maman. Tu retournes contre toi-même à deux mains l’amour de ton prochain.
Heureusement pour toi, qu’il y a sur ce forum des gens gentils. Christophe est ton nouvel ami. Il sait te parler et t’apprécier. C’est beau le naturisme dans son acceptation humaine. Tout n’est pas perdu.
Je ne sais pas comment te le dire. Je suis timide. Mais j’ai un grand faible pour les hommes qui sont chauves du caillou. Il se dégage, un je ne sais pas de quelque chose, de la force tranquille de notre feu président la Mytheerrante priant le dieu des élections sur son rocher près de Jarnac.
Je me rêve la nuit bercé dans tes bras musclés et quand je me réveille en sueur, victime d’un de ces satanés cauchemars qui remonte du fond des tripes à mon enfance, j’ouvre mes quinquets ébahis et je caresse ton crâne animal poli. J’y vois comme une lampe électrique qui m’éclaire et me rassure.
Pellemèle, veux-tu devenir ma femme ?
Je ne vis pas tout seul, j’ai en charge la Singette, son frère Sinjon, Goingoin le pingouin et une ribambelle de marionnettes. Mais bon, je te les présenterai et je suis certain qu’ils t’accepteront comme leur nouvelle maman.
Nous formerons une famille unie. Nous irons ensemble aux centres naturiste ou clubs naturistes, main dans la main comme des amoureux transis.
Les gens se retourneront sur nous en disant, quel couple bien assorti. Je sourirai gêné de cette considération nouvelle à mes oreilles chastes.
Et on reviendra tous les deux ensemble à quatre mains saluer tous nos nouveaux ami(e)s, c'est-à-dire toutes les colistières et tous les colistiers de ce forum.
On rira on saura même rire de soi-même puisqu’on s’aimera et que tu t’aimeras comme encore jamais.
Tu rayonneras le saint éthique partout où tu passeras. Tu seras mon soleil d’hiver.
On invietera tous nos nouveaux ami(e)s naturiste à notre mariage nu.
Pellemèle, veux-tu devenir ma femme ?
Annonce très sérieuse. La Singette Missdinguette, ma célèbre secrétaire acquiesce de la banane.
Pellemèle je t’aime.
Franck dit Bart qui confie sa déclaration d’amour à l’homme le plus bath que le ciel éthéré lui ai donné le plaisir de rencontrer.