jenesaisplusrien a écrit :
Madame n'a aucun amour propre, donc c'est un peu le combat de Don Quichotte contre les moulins, et ce moulin est de taille...
Nous allons certainement avoir un copié- collé sur la jeunesse de Cervantès et de l'indice de hauteur de la marée le jour où il a commencé à écrire son chef d-oeuvre .....
J’avais remarqué qu’à la science de John Clauser, tu préférais la science de l’ignorance, celle de Greta Thunberg ;
Il y a là un mystère !
Mais, effectivement Cervantes nous délivre une piste pour interpréter ce mystère.
Cet écrivain génial, qui a été esclave à Aljazaïr pendant 5 ans, victime du fanatisme, et son héro est le miroir de cette expérience.
Ce n’est pas du tout un modèle à imiter. Au contraire, il convient de le présenter comme un exemple à fuir.
Il est le symbole et le portrait de l’idéologue. Il vit dans un monde fantasmé, en l’occurrence le monde des romans de chevalerie des siècles passés, et cette obsession l’empêche de voir les choses telles qu’elles sont.
Sur la route des vins, on pourrait penser à un delirium très mince, mais sur la route des moulins à vent, il voit des bandits et les attaque; sur la table, un plat à barbe, il prend un plat à barbe sur une table pour un heaume de chevalier et l’ajuste sur sa tête; dans le taudis où il dort, la fille d’auberge s’approche, et pour lui, c’est Dulcinella et lui tend les bras.
Il n’est pas benêt, encore moins menaçant mais plutôt sympathique.
Ses œillères idéologiques font qu’il a tout faux tout le temps.
Les coups qu’il prend, comiques, ne l’éclairent en rien et même le renforcent dans sa croyance.
Les climato zélotes devraient en prendre de la graine !
Lø