Etre-naturiste
Mot de passe perdu
M'inscrire gratuitement
Vous connecter
Mot de passe perdu M'inscrire gratuitement

Le bio avec le naturisme...

< 1 ... 6 7 8 ... 13 >
Dernière réponse de laucatenatRépondre
Inscrit le : 17/10/2011
Messages : 32008
Paris (tout arrondissement) Paris (tout arrondissement)
Posté le : 19/03/2017 17H42
retour432 a écrit :
Ah les trolls qui ne donnent pas envie de discuter et qui font fuir le forum.
:-(
Je ne crois pas qu'il y en ait sur ce post, mais bon.....
Et puisque nous sommes dans l'échange et qu'on a pas mal évoqué des produits nous venant entre autres d'Espagne, je ne peux m'empêcher le terrain de l'économie européenne...
L'UE, à la base c'est un principe de confiance légitime entre des États-membres qui refusent de se tirer dans les pattes....
Je simplifie à outrance le principe de la libre circulation des marchandises à l'intérieur du territoire communautaire, mais c'est à dessein.
Et tu sais bien que je ne suis pas hors-sujet.
Les principes fondateurs du système communautaire ne sont par ailleurs pas censés aller à l'encontre de ce qui a été dit plus haut.. .
Message edité le 19/03/2017 17H59
non connecté
Inscrit le : 01/11/2015
Messages : 1835
Angers Angers
Posté le : 19/03/2017 18H35
Bonsoir,
J'ai bien fais d'avoir pensé au bio pour les naturistes en postant ce sujet...
content
Inscrit le : 17/10/2011
Messages : 32008
Paris (tout arrondissement) Paris (tout arrondissement)
Posté le : 19/03/2017 18H58
guy49 a écrit :
Bonsoir,
J'ai bien fais d'avoir pensé au bio pour les naturistes en postant ce sujet...
content
J'imagine que c'est le même que pour les autres. Non ?
Inscrit le : 30/09/2012
Messages : 902
Caussade Caussade
Posté le : 20/03/2017 00H39
Un peu de lecture......
-il existe bien en Espagne des culture Bio industrialisées.

Avec un chiffre d’affaires qui a augmenté de 19% en 2009 pour les produits bio, le secteur a le vent en poupe. Longtemps délaissé par les supermarchés et les industriels car considéré comme marginal, le bio est devenu pour eux incontournable.

Le problème est que nous sommes face à une industrialisation du bio. Il faut, à la manière des produits conventionnels, plaire au plus grand nombre en créant des produits aseptisés, bien emballés, au goût passe partout.

La grande distribution ne se tourne pas vers les petits fabricants artisanaux, qui ne peuvent fournir assez de denrées et à un prix plancher, mais vers les grands groupes industriels qui se sont accaparés de ce marché juteux.

Voici l’ère de l’agriculture biologique intensive et industrielle avec les monocultures, les monoélevages gigantesques, au développement de l’importation des denrées provenant de l’autre bout du monde, à l’allègement du cahier des charges des labels bio, au non respect des travailleurs, à la standardisation des coûts, etc. Comme le dit si bien Picard, par exemple, « Il nous faut du beau bio ».

Nous assistons ainsi à une perversion de l’idéologie « bio » d’origine de la petite paysannerie, qui cultivent des variétés anciennes avec des saveurs uniques dans le respect de la terre et de l’environnement.
Une taille industrielle

Fin 2008, plus de 35 millions d’hectares sont cultivés en agriculture biologique dans le monde, d’après l’IFOAM (International Federation of Organic Agriculture Movements). La nouvelle règlementation européenne permet à un éleveur de produire jusqu’à « 75 000 poulets de chair bio à l’année et ne limite pas la taille des élevages de poules pondeuses bio ». Bionest qui fait des fraises bio en Andalousie possède 500 hectares serres. AgriEco produit, avec ses 160 hectares de serres, plus de 11 000 tonnes de poivrons, tomates et concombres bio [1].

Importation : produits hors saison avec moins de goût

60% des fruits et légumes biologiques sont importés en France. ProNatura, le leader du marché actuel, a été le premier à commercialiser des fruits et légumes bio hors saison. Il ne parait pas surprenant pour le consommateur de trouver en rayon des fraises bio ou non, en plein mois de janvier par exemple. Ces importations favorisent pourtant les gaz à effet de serre et augmentent sensiblement les coûts des produits. Selon le WWF, un fruit importé hors saison par avion est 10 à 20 fois plus consommateur de pétrole que le même fruit acheté localement et en saison. Tout ceci est sans parler du goût du fruit qui n’aura pas autant de saveurs car cueilli bien souvent à une moindre maturité. Le goût est également bien souvent moins bon, moins prononcé car on privilégie les variétés à haut rendements, résistantes au transport, qui se conservent bien, etc. au détriment des saveurs.
Une règlementation arrangée

Les grandes coopératives, qui ont des intérêts financiers dans les OGM, influencent les institutions de règlementation à tel point qu’une nouvelle règlementation européenne permet d’avoir 0.9% d’OGM dans les produits bio et la possibilité d’utiliser des pesticides quand il n’y a pas d’équivalent, alors que le Parlement européen s’y était opposé ! L’éleveur et militant de Nature et Progrès, Guy Kastler bondit « La bio est totalement incompatible avec les OGM […] nous continuons à exiger 0% d’OGM! La nouvelle règlementation définit des standards et ne se soucie plus des pratiques agricoles. On est passé d’une obligation de moyen à une obligation de résultat. C’est la porte ouverte à la généralisation d’une agriculture bio industrielle ».

Alors qu’en France il fallait que les éleveurs bio produisent 40% de la nourriture pour leurs animaux sur leurs terres, la nouvelle règlementation européenne ne l’exige plus. La nourriture, constituée principalement de soja, est importée car coûte beaucoup moins cher, posant les mêmes problèmes que les fruits et légumes importés vus ci-dessus.
Des producteurs asservis

Daniel Florentin, membre de la Confédération paysanne affirme que « les producteurs sont sous contrats serrés et perdent toute leur autonomie. Ils sont lourdement endettés pour au moins vingt ans et doivent livrer la totalité de leur production à la coopérative qui s’engage à la prendre, sans prix déterminé à l’avance. C’est un pur système d’intégration, courant dans les élevages intensifs conventionnels».

Des petits producteurs de soja bio en Amérique latine dépendent de grosses sociétés d’exportation et « refusent les visites de la presse », c’est dire le manque de transparence des groupes.
Désastre écologique et sociologique

L’exemple des fraises bio

La société Bionest en Espagne, par exemple, cultive sous des centaines d’hectares de serres une seule variété de fraises bio qui est « particulièrement polluante et exploiteuse en main-d’œuvre ». Cette société se situe parmi tant d’autres de manière plus ou moins illégale dans le parc naturel de Doñana (inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco) selon WWF-Espagne. La technique de culture est très semblable à celle des cultures conventionnelles (irrigation goutte-à-goutte, usage d’engrais, monoculture…).

Bionest emploi des femmes, pour la récolte de leurs fruits, qui viennent de Roumanie, Pologne, des Philippines, qui ne connaissent pas leurs droits et qui sont totalement soumises à leurs employeurs (interdiction de visites, passeports confisqués, sorties contrôlées, etc.). Les conditions de travail sont particulièrement difficiles pour elles et ne sont pas différentes de celles des entreprises conventionnelles. Selon Le monde diplomatique « Bionest n’est pas un cas isolé en Andalousie ».

José Bové à la conférence de presse au Parlement Européen de Strasbourg (2010) :


Voici un épisode de Capital diffusé sur M6 pour mieux se rendre compte de ce qu’est l’agriculture des fraises en Espagne :


L’exemple de l’huile de palme bio

L’huile de palme bio fait parti des ingrédients de la plupart des produits bio transformés. En Colombie, le groupe Daabon est une multinationale qui possède des milliers d’hectares de palmiers à huile, bananiers, cacaoyers et caféiers bio. La famille Davila, propriétaire du groupe, est en relation étroite avec l’ancien président Alvaro Uribe qui a, pendant ses deux mandats, commis des milliers d’assassinats avec l’armée et qui avec l’aide des paramilitaires a fait déplacer massivement des paysans de leurs terres pour que des entreprises puissent y planter des palmiers à huile bio.

Nous voyons avec ces deux exemples qu’une monoculture bio à très grande échelle, qui bafoue les droits, les conditions de travail et de vie des hommes et qui détruit l’environnement, constitue une véritable dérive à « l’idéologie bio ».
Vers un contrôle des semences

Un membre de La Verde, une petite coopérative agricole créée dans les années 1980, bien loin des dérives citées ci-dessus, affirme que « Si l’agriculture biologique ne sert pas à rétablir l’équité, la justice, l’autonomie, l’autosuffisance et la souveraineté alimentaire, elle n’a aucun sens. Et les certificateurs ne nous aident pas. Un agriculteur qui diversifie ses cultures et cultive plusieurs variétés sera plus lourdement taxé que celui qui ne fait que de la monoculture intensive».

Ces petits agriculteurs ne peuvent pas par ailleurs, à cause de certaines lois, certifier leurs graines ancestrales. La règlementation européenne exige que des semences certifiées bio doivent être utilisées et que si elles n’existent pas il est possible d’utiliser les conventionnelles. « Pour le moment, tout se passe à la limite de la légalité, mais si demain la vente de nos produits est interdite, on va nous obliger à cultiver avec des semences bio vendues par Monsanto».

Il existe également le problème du croisement des semences entre les cultures bio et les cultures OGM. C’est par exemple le cas en Espagne en Aragon où 80% du maïs bio est contaminé par les champs d’OGM environnants (par le vent, la pluie, etc.).

Le problème du bio en France

« Les Français adorent le bio-même s’il leur coûte plus cher-, ils en achètent et en redemandent. Paradoxalement, la deuxième puissance agricole de la planète est incapable de fournir du bio. Les distributeurs sont donc contraints d’importer massivement. » affirme l’Express. Et rajoute « Le bio en France, c’est l’histoire du lièvre qui démarre la course en tête, s’essouffle, ralentit, s’arrête et se fait dépasser par tous ses concurrents. »

Vincent Perrot, porte-voix à la Fédération nationale des agriculteurs biologiques explique « La volonté politique de soutenir le bio a jusqu’ici été bien faible, […] La France agricole est marquée par l’agriculture intensive, dominée par le lobby des grandes exploitations. Notre culture fut trop longtemps celle du produire plus pour exporter plus ». Dans le pays qui est le 1er consommateur de pesticides en Europe, le bio n’est pas vu d’un très bon œil des industries chimiques.

Les grands céréaliers « qui ne jurent que par les grands rendements » sont les plus résistants à se convertir au bio pénalisant ainsi toute la chaine de production alimentaire car il faut, comme nous l’avons vu, des céréales bio pour alimenter le bétail bio.
Mouvements contre l’industrie intensive du bio

Il y a dans beaucoup de pays de plus en plus de paysans et de petites coopératives qui résistent face à cette industrialisation du bio et qui prônent pour une gestion responsable des produits bio.

« Des réseaux de défense des semences paysannes se développent pour imposer le droit des paysans à produire et à commercialiser leurs propres semences » remarque Le Monde Diplomatique.

Bio Cohérence est une nouvelle marque, un nouveau label privé, créée par la FNAB (Fédération nationale d’agriculture biologique) qui va compléter la règlementation actuelle mais qui sera beaucoup plus stricte (0% d’OGM, une ferme devra être à 100% bio, alimentation animale 100% produite majoritairement par la ferme elle-même, 100% des ingrédients bio dans les produits transformés, etc.).

Les AMAP (Associations pour le maintient de l’agriculture paysanne) qui mettent en relation directe les consommateurs et les producteurs connaissent un tel succès qu’elles n’arrivent pas à satisfaire la demande.

Nous sommes, bien évidemment, pour une consommation de produits bio mais à condition qu’elle soit réfléchie et responsable. On ne le répètera pas assez, il faut manger le plus possible de produits de saison et locaux ! Nous conseillons également d’éviter les plats préparés bio, contenant généralement divers additifs, de l’huile de palme, trop de sel, voire des OGM, etc. Privilégiez les produits bruts, non transformés, prenez le temps de cuisiner et découvrez les saveurs de variétés authentiques originales cultivées près de chez vous !


-la couleur des agrumes n'a rien avoir avec leurs maturités

La couleur des agrumes ne révèle pas, comme on pourrait le croire, la maturité du fruit. En effet, ce sont les chocs thermiques auxquels a été exposé le fruit qui lui donnent sa couleur. Ainsi, les tests de maturité sont faits en fonction du goût et pas de la couleur. Cela est dû notamment à la chlorophylle qui est verte d'origine et se dégrade en orangé jaune lorsque le fruit subit des chocs thermiques.

PS:J'étais producteur Bio certifié écocert j'usqu'au 31 décembre 2015.

non connecté
Inscrit le : 20/02/2008
Messages : 7703
Venzolasca Venzolasca
Posté le : 20/03/2017 00H50
Voilà qui fermer son clapet à Drwho. Alors, comme ça il n'existe pas de bio industrialisés ????
Inscrit le : 06/05/2013
Messages : 6286
Clermont-Ferrand Clermont-Ferrand
Posté le : 20/03/2017 08H23
Ce que je retiens du texte de 28bambous:

Il faut consommer les produits alimentaires élevés à proximité de chez soi, BIO et éventuellement non labellises bio si on confiance au producteur!

Éviter les produits BIO transformés!

Éviter les produits contenant de L’huile de palme

Importation : produits hors saison avec moins de goût

Êtes vous d'accord? Ai je oublier des choses?

PS:
Nature et Progrès
Un label BIO indépendantange
naturiste
Message edité le 20/03/2017 08H25
connecté
contacter Corail2
fermer
Pour pouvoir contacter ce membre, vous devez être connecté

connectez-vous ou inscrivez vous
Inscrit le : 01/04/2012
Messages : 30861
Wasquehal Wasquehal
non connecté
fermer
Pour pouvoir contacter ce membre, vous devez être connecté

connectez-vous ou inscrivez vous
Inscrit le : 18/09/2014
Messages : 1506
Paris (tout arrondissement) Paris (tout arrondissement)
Posté le : 20/03/2017 10H43
DIDI2B a écrit :
Voilà qui fermer son clapet à Drwho. Alors, comme ça il n'existe pas de bio industrialisés ????
je n'ai pas à "fermer mon clapet", surtout face à vous!
la plupart de vos interventions sont des invectives à mon égard! ravalez votre fiel et apprenez la bienséance, si vous savez ce que c'est...!
je connais ces articles. Vous appelez ça du bio? pas moi!
connecté
contacter lola
fermer
Pour pouvoir contacter ce membre, vous devez être connecté

connectez-vous ou inscrivez vous
Modérateur
Inscrit le : 28/01/2008
Messages : 67111
Uzès Uzès
Posté le : 20/03/2017 10H48
drwho a écrit :
DIDI2B a écrit :
Voilà qui fermer son clapet à Drwho. Alors, comme ça il n'existe pas de bio industrialisés ????
je n'ai pas à "fermer mon clapet", surtout face à vous!
la plupart de vos interventions sont des invectives à mon égard! ravalez votre fiel et apprenez la bienséance, si vous savez ce que c'est...!
je connais ces articles. Vous appelez ça du bio? pas moi!
Tu devrais manger de belles et bonnes choses, ça fait aussi du bien au moral content
Message edité le 20/03/2017 10H49
non connecté
fermer
Pour pouvoir contacter ce membre, vous devez être connecté

connectez-vous ou inscrivez vous
Inscrit le : 20/02/2008
Messages : 7703
Venzolasca Venzolasca
Posté le : 20/03/2017 10H51
drwho a écrit :
DIDI2B a écrit :
Voilà qui fermer son clapet à Drwho. Alors, comme ça il n'existe pas de bio industrialisés ????
je n'ai pas à "fermer mon clapet", surtout face à vous!
la plupart de vos interventions sont des invectives à mon égard! ravalez votre fiel et apprenez la bienséance, si vous savez ce que c'est...!
je connais ces articles. Vous appelez ça du bio? pas moi!
Et blablabla et blablabla, aller avoue que tu a tort sur toute la ligne. Sa va te faire du bien, sa va te libéréééé. Tu n'arrête pas de te contredire, en début de page, tu dis que tu as un doute sur le bio Industriel et maintenant tu dis que tu connais. C'est bien la preuve que tu n'est ici que pour faire chier, comme tu le faisais sous tout ancien speudo, latach espèce de Troll.
Message edité le 20/03/2017 10H54
non connecté
fermer
Pour pouvoir contacter ce membre, vous devez être connecté

connectez-vous ou inscrivez vous
Inscrit le : 18/09/2014
Messages : 1506
Paris (tout arrondissement) Paris (tout arrondissement)
Posté le : 20/03/2017 10H55
je ne considère pas le "bio industriel", surtout celui des articles, comme du bio. La moindre émission, le moindre article, démontrent le contraire... d'où mes doutes sur le sujet..."douter" de l'efficacité de quelque chose ne signifie pas ne pas connaître...
Ne vous déplaise, il n'y a aucune contradiction dans ce que j'ai écrit. Il suffit de savoir lire...
Message edité le 20/03/2017 12H10
non connecté
fermer
Pour pouvoir contacter ce membre, vous devez être connecté

connectez-vous ou inscrivez vous
Inscrit le : 20/02/2008
Messages : 7703
Venzolasca Venzolasca
Posté le : 20/03/2017 11H03
Si tu ne vois pas tes contradictions, du ne doit pas être dans la catégorie des autistes au Ql exceptionnel. Tu devrais plutôt consulter un psy.
Message edité le 20/03/2017 11H07
non connecté
fermer
Pour pouvoir contacter ce membre, vous devez être connecté

connectez-vous ou inscrivez vous
Inscrit le : 18/09/2014
Messages : 1506
Paris (tout arrondissement) Paris (tout arrondissement)
Posté le : 20/03/2017 11H12
relisez ce qui est écrit. Je n'ai rien à ajouter.
non connecté
fermer
Pour pouvoir contacter ce membre, vous devez être connecté

connectez-vous ou inscrivez vous
Inscrit le : 18/06/2017
Messages : 51
Agde Agde
Posté le : 22/06/2017 15H46
Bjrs,
ah le bio ... ange
Quand je rentre dans ces magasins je me contente des fruits et légumes. Le reste n'est pas vraiment bon pour ma santé, produits transformés... Que dire des sardines BIO, dont seulement l'huile est bio... et 2 fois plus couteuse.
Tant qu'on est en "bonne santé" pas besoin de bio ni de faire trop attention à ce qu'on mange. Quand le système digestif commence à faiblir et le système immunitaire à partir en vrille alors si l'on est un tant soit peu responsable de son corps ce que je pense tout naturiste devrait être, on se pose les questions de savoir que faire pour éviter d'en rajouter et dépasser nos capacités d'éliminations ?
non connecté
contacter dedeolive
fermer
Pour pouvoir contacter ce membre, vous devez être connecté

connectez-vous ou inscrivez vous
Inscrit le : 01/02/2007
Messages : 1920
Agde Agde
Posté le : 23/06/2017 08H15
Bonjour.
Mais au fait, après tout ce que j'ai pu lire ci dessus, qui peut me dire ce que signifie bio?
Pour ma part, je cultive un potager et j'essaie de jardiner bio mais c'est parfois tout à fait "impossible" tant certaines maladies et ou insectes viennent polluer mes plantations.
Je connais certains produits naturels "miracles" mais parfois je dois utiliser des produits du commerce si je veux récolter.
Sinon en ce moment je déguste "mes" fraises qui ont un goût de fraises, mes salades et bientôt mes haricots et un peu plus tard ce seront mes tomates!...
Bon appétit!
André.
André.
non connecté
fermer
Pour pouvoir contacter ce membre, vous devez être connecté

connectez-vous ou inscrivez vous
Inscrit le : 18/06/2017
Messages : 51
Agde Agde
Posté le : 23/06/2017 11H50
Bjr,
pour moi ça ne veut plus dire grand chose avec tout ce que l’Europe a autorisé comme produit pour satisfaire l’appétit de l'agro-alimentaire sur le "marché" du bio.
De plus les produits qui viennent hors Europe et qui ont le labelle bio n'ont pas tjrs les mêmes normes à respecter.
Je m'oriente de plus en plus vers les boutiques paysannes circuit court quand c'est possible.
Message edité le 23/06/2017 11H52
non connecté
contacter CRUSSOL30130
fermer
Pour pouvoir contacter ce membre, vous devez être connecté

connectez-vous ou inscrivez vous
Inscrit le : 12/06/2008
Messages : 5348
Pont-Saint-Esprit Pont-Saint-Esprit
Posté le : 23/06/2017 11H59
dedeolive a écrit :
Bonjour.
Mais au fait, après tout ce que j'ai pu lire ci dessus, qui peut me dire ce que signifie bio?
Pour ma part, je cultive un potager et j'essaie de jardiner bio mais c'est parfois tout à fait "impossible" tant certaines maladies et ou insectes viennent polluer mes plantations.
Je connais certains produits naturels "miracles" mais parfois je dois utiliser des produits du commerce si je veux récolter.
Sinon en ce moment je déguste "mes" fraises qui ont un goût de fraises, mes salades et bientôt mes haricots et un peu plus tard ce seront mes tomates!...
Bon appétit!
André.
André.
Bonjour,

En bon naturiste tu dois connaitre la "combine" pour faire rougir les tomates rapidement ?

clin d'oeilclin d'oeil
non connecté
fermer
Pour pouvoir contacter ce membre, vous devez être connecté

connectez-vous ou inscrivez vous
Inscrit le : 18/09/2014
Messages : 1506
Paris (tout arrondissement) Paris (tout arrondissement)
Posté le : 23/06/2017 12H22
le "bio" devient une marque, comme le sont les magasins "Muji" qui, au départ, prétendaient faire du "sans marque".
la traçabilité pour certains produits est avérée non conforme, malgré les prix élevés de ces produits qui restent en vente dans les magasins spécialisés.
de plus, on me démontrera que le même légume élevé en bio et en non bio a un goût différent. C'est totalement faux.
la différence de goût se situe uniquement dans la différence de variété d'un produit.
Je ne suis pas contre le bio, mais je n'en fais pas une religion.
Je précise que je parle des légumes et non de la viande.
non connecté
contacter dedeolive
fermer
Pour pouvoir contacter ce membre, vous devez être connecté

connectez-vous ou inscrivez vous
Inscrit le : 01/02/2007
Messages : 1920
Agde Agde
Posté le : 23/06/2017 16H44
CRUSSOL30130 a écrit :
dedeolive a écrit :
Bonjour.
Mais au fait, après tout ce que j'ai pu lire ci dessus, qui peut me dire ce que signifie bio?
Pour ma part, je cultive un potager et j'essaie de jardiner bio mais c'est parfois tout à fait "impossible" tant certaines maladies et ou insectes viennent polluer mes plantations.
Je connais certains produits naturels "miracles" mais parfois je dois utiliser des produits du commerce si je veux récolter.
Sinon en ce moment je déguste "mes" fraises qui ont un goût de fraises, mes salades et bientôt mes haricots et un peu plus tard ce seront mes tomates!...
Bon appétit!
André.
André.
Bonjour,

En bon naturiste tu dois connaitre la "combine" pour faire rougir les tomates rapidement ?

clin d'oeilclin d'oeil
Hello
Oui oui, Crussol
Mais je ne pense pas que mes voisins apprécieraient!!!
André.
non connecté
fermer
Pour pouvoir contacter ce membre, vous devez être connecté

connectez-vous ou inscrivez vous
Inscrit le : 06/05/2013
Messages : 6286
Clermont-Ferrand Clermont-Ferrand
Posté le : 23/06/2017 22H33
dedeolive a écrit :
Bonjour.
Mais au fait, après tout ce que j'ai pu lire ci dessus, qui peut me dire ce que signifie bio?
Pour ma part, je cultive un potager et j'essaie de jardiner bio mais c'est parfois tout à fait "impossible" tant certaines maladies et ou insectes viennent polluer mes plantations.
Je connais certains produits naturels "miracles" mais parfois je dois utiliser des produits du commerce si je veux récolter.
Sinon en ce moment je déguste "mes" fraises qui ont un goût de fraises, mes salades et bientôt mes haricots et un peu plus tard ce seront mes tomates!...
Bon appétit!
André.
André.
Cela veut dire que les produits ne sont pas traités et donc pas imprégnés par des poisons chimiques, tels que: "fongicides, insecticides, herbicides... et engrais chimiques pouvant résister à ces poisons" et qu'ils ne subissent aucunes modifications génétique...

Les produits BIO sont tous simplement les produits alimentaires que cultivaient nos ancêtres depuis la préhistoire jusqu’à nos grands parents dans les années 50!

Message edité le 24/06/2017 07H56
< 1 ... 6 7 8 ... 13 >
Dernière réponse de laucatenatRépondre