Posté le : 21/12/2023 18H55
« Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle… »
Le« Spleen » de Baudelaire illustre bien la chape de plomb, l’effet de serre, qui s’exerce sur l’esprit contemporain en proie aux pesantes incantations de la désinformation.
La noirceur et le plomb générés, par le couvercle étaient, pas uniquement naturels, mais métaphoriques. Le couvercle enferme l’esprit d’une poésie certes noire mais magnifique.
Aujourd’hui, ce « couvercle bas et lourd» a de nombreuses représentations, interprétations.
La première, si on croit le GIEC, enferme le gaz carbonique anthropique dans la chaudière climatique de la troposphère provoquant un puissant effet de serre, faisant déjà « bouillonner les océans » si on suit le trépidant président de l’ONU : Antonio Guterres.
L’apocalypse annoncée dans la bible, elle est là ! Elle est assenée tous les jours dans les principaux médias. Cette apocalypse fantasmée induit inévitablement un effet de serf, un effet de servitude.
Pour sauver la planète, chacun doit rogner sur ses libertés pour réduire sa trace carbone. Le carbocrime a été mis à jour ! Les sciences qui ne sont pas Giecistes n’ont pas encore établi quel était ce danger !
Mais on va sentir l’effet de ce couvercle toujours plus lourd pour consolider le colossal et inutile budget .
Quand il faudra payer la prochaine taxe qui servira à renforcer le monstrueux et inutile budget établi par l’UE aux pays en déconfiture économique et aussi existentielle, mais nécessaire aux énergies renouvelables. Chacun, sous le joug, devra apporter son écot, en bon serviteur éco -responsable de la pensée dominante.
La deuxième interprétation est plus importante et a rendu possible la première : elle se propage donc par les média qui font l’opinion :
« et nous fait des jours noirs, plus tristes que des nuits »
Là, Baudelaire a anticipé les cas d’éco-anxiété, de tous les activismes hystériques que l’on doit subir, combien de dépression et combien de suicides en forte hausse chez les jeunes.
Tous ces média pêchent par manque de pluralisme, un comble pour le service public d’information.
Le récent projet de loi devant condamner les textes « climatosceptiques » dans les services publics d’information menace la Science et la liberté d’expression. Interdits de débat ! Pas de contestation de la bonne parole.
La liberté d’expression, se couvre de raisons progressistes et humanitaires. Mais le capitalisme vert non vertueux et l’économie de « transition écologique », ne devraient pas être davantage tolérée.
Pour se libérer de ce nouvel effet de serf pensons à cette sage maxime de La Boétie : « Soyez résolus à ne plus servir et vous voilà libres. ».
Message edité le 22/12/2023 09H12