"Lis mon enfant, lis"

le fascisme à toute les sauces, n'importe où et n'importe quand ne fait que banaliser sa signification et son utilisation. Vous agissez à l'inverse des propos que vous voudriez tenir.
Vous êtes libres de vos erreurs de jugement et d'utilisation de termes et de vous y vautrer!
c'est aussi ça la démocratie: parler de tout, n'importe comment; mais donner son avis.

avez-vous été prof? réalisez-vous la lecture que vous proposez à un enfant de collège?
ce n'est pas une question "d'ouverture" (encore un mot galvaudé!) quand je parle de littérature française, mais avec des propos pareils je ne m'étonne pas qu'on étudie Agatha Christie en Français... mais que fait-on en anglais alors?
ne vous déplaise, dans un cours de français je m'attends à faire des auteurs français. Vous parlez de collège. On est censé y enseigner la littérature française, non? les cours de littérature étrangère se font après la bac. Encore une fois, ne parlez pas de ce que vous ne connaissez pas...!

voila bien des reponses de censeur , de professeur , qui connait la verité ; vous qui parlez ailleurs de bisounours , un enfant n'a pas le droit de decouvrir des livres parlant de choses graves ? nous n'avons pas eté profs , mais cela n'interdit pas de parler de ce que nous connaissons aussi bien que vous , ne vous en deplaise , figurez vous que chacun a son vecu , son experience de la vie , les erreurs d'utilisation de termes ne sont pas unilaterales et sont acceptables ; vous parlez de jugement ? qui juge ,? et pire , nous renvoie à notre condition " d'ignorants " ; pire encore , manipule , mais là , on commence à connaitre le personnage ; la democratie ? serait elle reservée à une elite , imbue de son savoir , de sa verité ? en ce cas , ce n'est plus de la democratie , car encore heureux qu'on puisse parler de tout , meme n'importe comment ! et si l'on a envie de parler du fascisme , il ne nous semble pas que ce soit à toutes les sauces , car il n'y en a qu'une et elle est brune , et en parler ne le banalise jamais , au contraire , c'est le silence qui permet la resurgence ;

vous avez le droit de raconter toutes les bêtises que vous voudrez, je ne vous en empêcherai pas.
sauf qu'il faudrait laisser à ceux dont c'est le métier, et qui baignent dans l'enseignement, le choix et la critique de ce qui est bon ou pas dans le cadre de leurs cours.
encore une fois, vous ne voyez que des chemises brunes dans des avis contraires aux vôtres...
vous êtes des perpétuelles victimes... pourtant on ne vous interdit pas de réfléchir...!
Et tout ce blabla perpétuellement répété sur les "élites", ça ne vous fatigue pas? parce que les élites sont fascistes aussi? Tous les profs sortent d'une famille d'élite?
Si vous voulez faire lire Hegel ou Musil à vos enfants en collège, libre à vous... c'est aussi ça la démocratie...!
quand à vos délires paranoïaques sur votre prétendue ignorance ou ma manipulation (envers qui?), je n'y participerai pas.
Vous clamez le droit à a parole et l'expression. Acceptez aussi ce qui est dit en face. C'est aussi ça la démocratie.
mais comme on dit: "à chacun son métier". Personnellement je ne m’immisce pas dans ce que je ne connais pas. ce n'est pas parce que j'utilise un pc que je peux donner des conseils à un informaticien. Ce n'est pas parce que je parle telle langue étrangère que je peux l'enseigner....
vous voyez où je veux en venir?

comme vous etes le censeur sachant censer sans s'enscenser , nous vous laissons dans votre jugement , alors qu'il etait seulement question d'un livre lu recemment , sans besoin d'un tel derapage , auquel nous sommes coutumier , enfin , merci pour les betises , il est vrai que vous n'en dites pas vous , la paranoia : elle vous est compagne bien connue , ça se voit , ça se lit ; parler du fascisme , ça vous donne de l'urticaire , et les elites ? vous vous y placez bien , en nous balançant du champollion par ci , du hegel ou musil par là , ( cui là , inconnu , meme de nom ) , histoire de bien marquer votre superiorité intellectuelle ( que nous ne saurions contester ) ; et oui , on accepte ce qui est dit en face , la preuve : on a bien dit que si çe livre ne convenait pas en matiere d'etude litteraire , soit , mais il reste l'histoire , la philo et le comportement humain qu'un enfant est à meme d'etudier , à son niveau ; il n'a jamais eté question de donner des conseils , c'est du n'importe quoi , encore une fois , c'etait juste parler d'un livre lu recemment ; point final

"en nous balançant du champollion par ci "
je n'ai jamais parlé de Champollion.

ce n'est pas moi qui ai parlé de livres à faire lire au collège, mais vous...!

non, parler du fascisme ne me donne pas de l'urticaire. C'est galvauder le terme en l'utilisant constamment, dès qu'il y a contradiction, qui lui fait perdre son sens et le banalise.
Si chaque fois qu'on site un auteur c’était pour marquer sa supériorité, je trouverais ce procédé bien facile...!

champollion ou la pierre de rosette , c'est blanc bonnet et bonnet blanc , vous savez , nous les prolos , on n'a pas l'intelligence bien sur pour faire la difference , puisqu'on nous a appris que c'etait champollion qui avait traduit les inscriptions sur cette pierre , ok ; mais ça ne fait pas partie vraiment de nos centres d'interet , c'est si loin ; par contre , s'il nous parait interessant de parler ici dans un sujet consacré aux livres , d'un ouvrage parlant de la shoah , sujet plutot contemporain , il nous semble , et à ne pas enterrer , si? et l'emploi du conditionnel n'a pas valeur de conseil
vous etes suffisamment informé pour savoir qu'en europe , actuellement , la montée des partis d'extreme droite et populistes est importante ; rien à voir avec le faschisme ? il ne faut pas contredire ceux qui s'en reclament ? il ne faut pas contredire ceux qui insultent les gouvernants en place ( sans nier leurs insuffisances ) , et viennent faire la propagande du populisme ? nous ne vous mettons pas sur le meme plan , loin s'en faut , mais comme vous disiez si bien , chacun son metier , et les deformations professionelles qui vont avec ,

Vous vous mettez volontairement à l'écart pour vous faire plaindre?
prétendez vous que tous les "prolos" sont des incultes?
si vous rabattez le moindre sujet sur du social, et encore et encore le social, alors ouvrez un post et ne vous gênez pas pour y ajouter quelques épices de contre- fascisme si chères à votre goût.

j'ai eu le tort d'ouvrir se sujet en pensant qu'on y parlerait de littérature, mais en vain...

Petite question accessoire, Ptitloup...
Et simple curiosité personnelle.
Pourquoi utilises-tu toujours le "nous" au lieu du "je" dans tes messages ?
Tu inclus ta compagne, ou bien est-ce le "nous" de modestie utilisé par les auteurs de thèses et les conférenciers ?

non , il est tres bien ce post ,d'ailleurs , une remarque , si vous voulez , on ne poste plus sur les livres qu'on lit , c'est vrai qu'il ne suscite pas beaucoup de participation ! ce livre : la zone d'interet de martin Amis , ce n'est pas de la litterature ? on aurait pu en parler ? autrement ? et les prolos , c'est nous , qui racontons des betises , pas vrai hein ?

continuez votre monologue...!
je suppose que les "nous" sont des tiers virtuels? vous ne pouvez donc pas parler en votre nom propre?

oh là , mous , tu m'en demande beaucoup , je n'ai pas la pretention de me faire l'egal d'auteurs de theses ou conferenciers , moi j'etais plutot dans la mor..these ;
par contre oui , plutot dans l'autre sens , car cathy est bien souvent en relecture , en avis qui pourraient etre souvent plus cinglants ,
mais , c'est vrai , il faut s'attendre à tout , nous versons dans la parano , n'est ce pas ? ce qui nous amuse , et nous agace un peu quand meme , c'est de venir parler d'un livre sur un sujet consacré aux livres , et de se voir justement mepriser ainsi ; mais comme dit ailleurs , dont acte , on va laisser le forum aux grands sujets de pubis rasés ou pas , de voyeurs ou pas , etc

Comment vriller deux posts?
- en parlant toujours de la même chose (du social et des fascistes, même si ça n'a aucun rapport avec le sujet), en se plaignant, en gémissant et jouant la victime, et surtout en prétendant tout fait pour suivre le sujet des posts..!

je conseille : "sur les chemins noirs" de Sylvain Tesson
en revanche c'est une voie où personne n'indique ni comment se tenir, ni quoi penser, ni même la direction à prendre.
le rêve quoi .

L'auteur est une personne exceptionnelle, comme l'est sa famille.

maintenant que ça marche, je remets la vidéo!

D’un point de vu formel je trouvais que les premiers livres Michel Houellebecq, cela n’allait pas assez vite. La construction me pesait et m’ennuyait comme quand maintenant je lis des Balzac que je n’ai pas lus, ou le roi des aulnes ou comme certains Goncourt. J’ai l’impression de perdre mon, temps. Avec le dernier livre de Houellebecq, Soumission, j’ai lu le livre dès que je l’ai eu et je n’ai pas vu le temps passé et je me suis dit « extraordinaire !» Je ne dis pas génial pour pouvoir garder cette appréciation pour d’autres livres quand ça correspondra vraiment. Extraordinaire pour le style blanc et neutre d’une époque blanche et neutre et que Houellebecq en a saisi le style. Il en fait le style d’une époque. Ensuite parce qu’il est différemment construit par rapport à ses autres livres, où plein de pages qui auraient pu encombrer ne sont pas là et ça va vitement et j’ai été prise, j’ai été embarquée !!!! Je crois que l’état psychique, physique, sentimental dans lequel on se trouve au moment de la lecture influence l’appréciation portée sur un livre.

Ce livre m'est tombé des mains vers la page 52.
ce sont des considérations quasi-journalistiques. Il n'y a rien de littéraire. Il place une soit-disant fiction ancrée dans sa vie quotidienne, avec des références tv et politiques. Si le non-style est considéré comme un style alors on y est dedans. L'écriture est réduite à de la banalité.
Désolé, mais quand je lis, je cherche le plaisir de la lecture.
Ici, je m'ennuie.

Quelques auteurs ont façonné ma pensée entre autres Montaigne Nietzsche Kierkegaard Camus….
J’ai découvert Camus à l'âge de douze ans, J'ai lu, quelques mois plus tard, l'Étranger. J’étais bouleversée par la parole monocorde de Meursault. L'auteur irradiait tout entier dans mon corps quand dans ma chambre je me concentrais sur la preface de l'"Envers et l'Endroit". Je venais de le découvrir, et je me préparais à lire toute son œuvre.
Le rendez-vous littéraire avec Camus s'exécutait en mon moi. J’y retrouvais les paradoxes de la vie. Une force de l'ordre, de l'intuition s’y trouvait avec une justesse absolue, la difficulté du raisonnement. Ca se traduisait dans ses individus, dans une phrases, ou tout simplement, dans un mot.
Depuis plus de vingt ans j’ai souvent vérifié que l' »Envers et l'Endroit » fut et demeure une véritable source ou fontaine d’abondance de quiétudes et de réponses, naviguant dans ces mondes contrastés de pauvreté et de lumière où j’ ai longtemps œuvré et ou j’œuvre encore et dont la mémoire et l’action me protègent toujours des deux périls contraires qui menacent tout humain : «!a satisfaction et le ressentiment»