Citation :
Vous débattez…. mais de la vitesse vous dévoyez le spot Seriez vous déstabilisés
Le sujet du post est la tolérance et plus particulièrement : « Se dire tolérant, implique-t-il de tout tolérer ? » Donc le curseur de tolérance sur la limitation de vitesse n’est pas hors sujet.. Toutefois de naviguer entre plusieurs curseurs peut faire perdre le fil comme le fait remarquer rv0283
rv 0283 a écrit :
J'avoue qu'il faut suivre!
Mais la tolérance et/ou l’intolérance recouvrent tous les sujets et pas uniquement la religion et le taux d’immigration…. ;
On pourrait prendre le sport par exemple surtout les sports d’équipes où il y a contact. Là, comme pour le code de la route il y a des règles qui normalement fixent la position du curseur de tolérance. Mais on voit bien que la tolérance n’est pas la même dans la surface de réparation et sur le reste de l’aire de jeu pour le football. En handball la tolérance varie d’une arbitre à l’autre. C’est encore plus flagrant au rugby où les règles sont multiples et laissées à l’appréciation de l’arbitre, comme on dit à juste titre il y a la règle et il y a l’esprit autrement dit la tolérance. C’est moins vrai en rugby à sept où le jeu est plus délié et où l’esprit, la tolérance est moins de mise.
johnarnold a écrit :
je mettrai en place une modulation de la vitesse sur autoroute je mettrai en place une modulation de la vitesse sur autoroute
Ca c’est intéressant. C’est pratiqué aux Pays Bas, certes pour les limitations inférieures, sur des portiques qui jalonnent les autoroutes. En fonction du nombre de véhicule par heure il pourrait y avoir effectivement une tolérance jusqu’à 150 km/h. Comme à Abu Dhabi, la vitesse resterait limitée à 130 , mais le cinémomètre déclenché qu’au-dessus de 150 km/h
geryetlulu a écrit :
les religions ( un bizness monté de toutes pièce ) on souvent pour ne pas dire toujours étais sources de guerres.
Un business mené à son apogée par l’église catholique et les sectes qui gravitent autour. Certes elle n’en a pas l’exclusivité et de nombreux exemples pourraient être cités dans l’indouisme, le bouddhisme….ou déjà dans l’Egypte des pharaons. Ce n’était pas trop le cas dans le panthéisme grec ou romain, si ce n’est les fonds nécessaires à la construction de temples à la gloire d’une déesse ou d’un dieu.
La religion comme source de guerre, oui bien sur, mais il faudra attendre les religions monothéistes pour avoir de réels conflits, comme en Egypte lorsqu’Akhenaton voulu imposer un dieu unique sous l’emblème du soleil. Les religions animistes n’ont pas provoqué de guerres pour un dieu. Les grecs et les romains ne se battaient pas pour un dieu. Les premières guerres de religions sanguinaires furent sur plusieurs siècles les croisades vers la Palestine, l’extermination des Vaudois, la croisade des albigeois, les guerres de religions contre la Réforme en Europe et l’inquisition.