Posté le : 23/06/2022 11H56
Le bal.
Au Palais, le bal a débuté.
Apollinaire et sa troupe entraînent les sujets de l’Empire dans de folles rondes et farandoles endiablées qui amusent tout le monde.
L’Empereur est heureux, sa soirée d'hommage est une réussite !
Il attend maintenant des nouvelles des filles de salle. Elles devaient être là dès le début du bal. Les voici justement qui arrivent, drapées dans leurs somptueux costumes de soie. Charlemagne est ébloui par tant de grâce et de beauté ! Comment a-t-il pu ignorer si longtemps ces trésors dans son propre palais ?
Innés et ses sept compagnes se prosternent devant Charlemagne.
« Bonsoir, Votre Majesté !
- Relevez-vous, mes anges... Vous êtes ravissantes... Ah, les Maîtres Tailleurs de l’Empire ont bien fait les choses ! Vous allez suivre mes gardes. Ils vont vous conduire dans mes appartement privés, où une collation vous sera servie. Je vous rejoindrai tantôt ! »
Et, emboîtant le pas des quatre gardes, les filles arrivent dans les appartements impériaux.
« Mesdemoiselles, leur dit Georges de Caunes, installez-vous à cette table, mettez-vous à l’aise,... Vous pouvez enlever vos vêtements !
- Si cela ne gêne pas Sa Majesté, répond la jeune rousse Fine de Champe, .nous aimerions que ce soit lui qui les enlève !
- Je vois que vous savez à quoi vous attendre, dit Louis de Piennes. Soit ! mais nous l’aiderons à vous déshabiller ! »
- Oh, vous savez, lui répond Madeleine, il suffit d’un bouton ! »
Joignant le geste à la parole, d’une main, elle défait le bouton dans son cou... Et la belle tunique de soie tombe à ses pieds, dévoilant un corps magnifique. De beaux seins gros et ronds, et une toison dorée qui cache à peine les grandes lèvres de sa vulve. Puis elle ramasse la tunique, et la reboutonne sur son cou.
« Ah ! dit Pierre de la Londe, il va sûrement aimer cela ! »
Après avoir donné des directives à ses conseillers et à son majordome au sujet du bal, Charlemagne s’en retourne dans ses appartements. Les filles sont en train de déguster un nectar de vin qu’elles n’auraient jamais espérer goûter ! Jean d’Aton emplit un verre et le tend à l'Empereur.
Alors Innés lève son verre et s'écrie :
« Longue vie à l’Empereur ! »
Et toutes et tous répètent en chœur : « Longue vie à l’Empereur ! »
« Merci mesdemoiselles, merci messieurs ! Mais cessons là les formules protocolaires... Je suis un homme, vous êtes des femmes. Et bien évidemment, la nature veut que nous les hommes soyons attirés par les femmes ! N’est-ce pas, messieurs mes gardes ?
- C’est vrai, acquiescent-ils tous les quatre, il en est ainsi !
- Venez, mesdemoiselles. Videz votre verre et approchez... »
Les filles alors vident leurs verres, les posent sur la table, et s’approchent, entourant l’Empereur.
« Messieurs, ordonne Charlemagne, déshabillez-les ! » .
Et les gardes passent derrière les filles, et leur main sur un bouton, ouvrent ensemble les tuniques qui chutent au sol, dévoilant d’un coup les huit corps.
L’Empereur est ébloui et pousse un « wouahou ! » admiratif.
Innés la rousse, a des gros seins pointus, des tétons tout pointus aussi, et une minuscule toison rouge coupée ras, laissant visible son gros clitoris qui dépasse en haut de ses lèvres.
Madeleine, qui s’est déjà montrée tout à l'heure aux gardes, montre à Charlemagne ses beaux seins ronds et sa toison dorée.
Marguerite, rousse aussi, a des petits seins bien fermes, et le pubis bien épilé, laissant sa vulve apparente.
Line, de longs cheveux bruns couvrant ses seins ronds, a une belle toison brune très dense, très fournie, qui descend entre les jambes et dissimule toute son intimité.
Nathalie est une grande blonde avec de gros seins, des tétons larges et rouges, et une toison dorée sculptée en V, qui s’arrête au-dessus du clitoris.
Georgette est une rousse bien potelée, avec de gros seins, une toison rousse abondante, un fessier généreusement rebondi et de bonnes cuisses dodues mais fermes.
Josette, elle, est très fine, ce qui la fait paraître encore plus grande que ses six pieds deux pouces. Cheveux bruns coupés courts, toison brune tondue très rase. Ses lèvres majestueuses pendent entre ses cuisses élancées.
...Et les corps se rapprochent...
(...)
Une fois les derniers soubresauts terminés, les gardes, toujours debout, disent au filles de les emmener au bain, à côté. Elles les aident alors à marcher, ils n’y arrivent plus tout seuls ! Dans l’eau bien chaude, elles les nettoient, et se nettoient aussi, sortant moult matière gluante qui coagule dans l’eau chaude.
Enfin, une fois bien savonnées, elles sortent du bain, et après avoir aussi bien savonné les gardes, elles les sèchent et les frottent énergiquement, les revigorant quelque peu.
Puis elles changent l’eau du bassin, le nettoient, le remplissent à nouveau d’eau bien chaude, et vont chercher l’Empereur, toujours endormi. Et à huit, elles le portent jusque dans le bassin pour le laver lui aussi. Il gémit un «mmmh !» de plaisir dans l’eau chaude, et se réveille doucement, entouré des huit filles qui le frottent délicatement.
Puis elles le mettent debout, l’aident à sortir du bassin, et chacune, munie d’une serviette chaude, le frotte pour le sécher. Une fois l'Empereur sec, elles le rhabillent, et l’emmènent s’asseoir à table, pour qu'il se sustente quelque peu et reprenne des forces.
Les gardes toujours nus sont déjà attablés, et dévorent... Jamais ils n’ont été aussi agréablement affamés ! Charlemagne lui aussi mange et boit de fort bon appétit. Les filles toujours nues trinquent avec lui.
Au palais, le bal touche à sa fin, les musiciens ont annoncé leur dernier morceau.
Un majordome vient frapper à la porte des appartements de l’Empereur. Il annonce à Sa Majesté que le bal va s'achever, puis repart.
Les filles et les gardes alors se rhabillent, et tous ensemble, Charlemagne en tête, ils descendent dans la grande salle.
L’Empereur s'adresse une dernière fois à l'assistance.
« Chers sujets de l’Empire, dormez bien... Je vous rappelle que demain nous inaugurons la nouvelle chapelle. Soyez présents pour ce grand hommage à Dieu ! »
Les uns après les autres, les convives quittent la salle. Les Durandalémois repassent par le sas pour regagner leurs appartements.
Leurs costumes sont certes magnifiques, mais toutes et tous sont bien contents de retrouver leur tenue de peau !
Hantz descend aux écuries, mais ne voit que des garçons et des filles endormis. Il les laisse ainsi, les protège avec des couvertures pour la nuit, et souffle les bougies.
Les filles ont pris congé de l’Empereur, qui a tenu à les accompagner jusqu’au sas. Elles demandent à Marie et Chantal des potions calmantes, et s’en retournent dans leurs chambres, tout au bout des appartements.
Chantal passe les voir et leur donne à boire une tisane qui les endormira et les remettra d’aplomb.